Philippe Caverivière s'imaginait en recevant la direction du PMU avoir en face de lui un homme blanc, dégarni, septuagénaire avec un costume trop grand. À sa grande surprise, il a découvert une Emmanuelle Malecaze-Doublet jeune, dynamique et brillante. L'occasion pour l'humoriste de lui demander s'il était possible d'être banni de pari hippique. Pourquoi ? "Si on considère que jouer tous les jours, c’est assez régulièrement, alors précision, mon père ne joue pas, il perd tous les jours".
Véritable amateur depuis son enfance, il précise avoir grandi en entendant des noms de chevaux "Lutin d’Isigny, Ourasi : ce sont des athlètes de haut niveau, avec des blessures, des
coups de génies. En fait gérer ces chevaux-athlètes, c’est
comme gérer l’équipe de France de foot", commente-t-il "mais avec des Griezmann et Mbappé qui
font leurs besoins en courant".
Philippe Caverivière s'est ensuite penché sur l'actualité, notamment sur le voyage du pape François au Congo. Si les médias se veulent rassurant sur l'état de santé du chef de l'Église catholique, l'humoriste s'inquiètent pour ses genoux. "Les
Papes ont les mêmes blessures que les footballeurs, c'est la génuflexion", observe-t-il. "Si
déjà Dieu n'arrive pas à solutionner la tendinite du Pape, comment vous voulez qu’il résolve le problème
de la faim en Afrique".
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