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Paris : pourquoi une trentaine de tuk-tuks ont été détruits
La préfecture de police de Paris a annoncé la destruction, jeudi 27 avril, d'une trentaine de tuk-tuks. Si ces véhicules sont autorisés à circuler, ils doivent respecter plusieurs règles.
Des tuk-tuks non homologués ont été détruits le 27 avril 2023
Crédit : Twitter - Préfecture de Police
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Les tuk-tuks sont des tricycles motorisés aménagés qui font office de taxi. S'ils sont répandus dans certains pays d'Asie ou d'Afrique, plusieurs circulent à Paris, notamment aux abords de lieux touristiques. Une trentaine d'entre eux, illégaux, ont été saisis à la suite d'opération et ont été détruits, a annoncé la préfecture.
Dans un tweet publié jeudi 27 avril, la préfecture de Police a ainsi expliqué que cette opération avait pour objectif de retirer de la voie publique les "engins non homologués". Elle a aussi rappelé que les manquements à la sécurité "mettent en danger la vie des personnes transportées".
Pour savoir si un tuk-tuk est conforme aux règles de sécurité, il convient de vérifier certains points : la présence d'une ceinture de sécurité, l'assurance du véhicule, ainsi que sa plaque d'immatriculation, rapporte un commissaire de police interrogé par France 3 Paris.
En plus de vérifier que les tuk-tuks sont en règle et respectent le code de la route, les policiers s'assurent également que les prix pratiqués par les chauffeurs sont réglementaires. Les opérations de contrôle par les forces de l'ordre vont être renforcées avant plusieurs événements sportifs comme la coupe du monde de rugby ou les Jeux olympiques.
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