2 min de lecture
Beaucoup d'emplois à temps partiel concernent la restauration ou l'hôtellerie.
Crédit : FRED DUFOUR / AFP
Je m'abonne à la newsletter « Infos »
Que ce soit
par contrainte ou par choix, près d'un salarié sur cinq travaille à temps
partiel. C'est le résultat d'une étude du ministère du Travail. En 2018, 3,3
millions de personnes faisaient moins de 35 heures par semaine.
Ce sont les
femmes qui travaillent le plus à temps partiel : 31%, juste devant les seniors
avec 28% et les jeunes à 24%. Selon cette enquête, un bon tiers de ces emplois
sont assez précaires. CDD, intérims, saisonniers… Dans ces cas-là ce sont
souvent des postes de caissiers, vendeurs ou des emplois dans le domaine de
service à la personne avec des durées de travail extrêmement courtes. Même inférieures
à 15 heures hebdomadaires, pour un salaire moyen de 602 euros par mois.
L'autre
tiers des emplois concerne les salariés qui travaillent les week-ends, le soir
ou la nuit, majoritairement dans la restauration, l'hôtellerie ou les hôpitaux.
Les femmes peu diplômées sont très représentées, tout comme les jeunes
étudiants.
Dernière
catégorie : ceux qui occupent un emploi partiel stable. Ils sont 40% avec
une rémunération en net de 1.229 euros par mois. Principalement là aussi des
femmes et des seniors. Enfin, plus de la moitié de ces salariés expliquent
travailler à temps partiel pour des raisons personnelles ou familiales.
Coronavirus - Le port du masque obligatoire en extérieur s'étend désormais à près de 1.500 communes. À Paris, la mesure sera effective dans certains secteurs à partir de lundi matin. Mais déjà la carte des zones concernées fait polémique. L'avenue des Champs-Élysées et la rue de Rivoli, très fréquentées, ne figurent pour l'instant pas sur la liste.
Faits divers - Gérard Dué, le maire de Croisilles (Pas-de-Calais), a été
agressé vendredi 7 août au soir par un jeune qui faisait du tapage sur le
parking d'une résidence, en mettant la musique à fond dans sa voiture. L'élu
s'est fait violemment pousser. Blessé au poignet, au coude et au dos, il a eu
quatre jours d'ITT.
International
- Au Liban, la colère du peuple, est immense cinq jours après la double
explosion de Beyrouth qui a fait u moins 158 morts et plus de 6.000 blessés.
Des milliers de Libanais ont manifesté samedi pour réclamer le départ des
politiques en place. Hassan Diab, le Premier ministre libanais, a envisagé des élections anticipées.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte