C'est une histoire digne d'un film. Celle d'un Toulousain qui a récemment découvert que des SDF avaient braqué sa voiture pour lui voler son portefeuille. Ils se sont servis de sa carte bleue pour acheter un jeu à gratter. Jeu qui s'est avéré gagnant avec la somme de 500.000 euros remporté. À qui doit revenir l'argent ? C'est toute la question. Les SDF n'ont toujours pas réclamé les gains puisqu'ils sont en infraction.
Le propriétaire de la carte bleue a lancé un appel aux SDF ce vendredi 21 février sur RTL. Sur ces 500.000 euros, un sacré butin, ni les deux voleurs, ni Jean-David, le propriétaire de la carte bleue ne peuvent toucher jusqu'à maintenant. Pour cause, le Toulousain a déposé plainte auprès du commissariat. "Les policiers ont appelé la FDJ donc forcément on a bloqué le ticket", explique-t-il.
Les jours passent et l'employé municipal voit le jackpot s'éloigner. La durée de validité d'un jeu à gratter est de 30 jours. Acheté le 3 février dernier, il ne reste plus que quelques jours aux deux malfrats pour se rapprocher de leur victime. "S'ils ne se rapprochent pas de mon avocat, le ticket est inutilisable", avance Jean-David, ajoutant "pourquoi s'arranger à l'amiable et faire moitié-moitié".
Pas rancunier, le propriétaire de la carte bleue l'avoue, "pour une somme comme ça, je suis prêt à faire l'impasse". Cela permettrait de "faire passer mon crédit immobilier de 25 à 15 ans", conclut le quadragénaire, qui espère désespérément un signe de ses voleurs.
Guerre en Ukraine - Emmanuel Macron s'est prêté pendant plus d'une heure jeudi soir à l'exercice des questions-réponses avec les internautes sur les réseaux sociaux. Il a insisté sur la place que doivent tenir les Européens dans les négociations de paix, tout en répétant qu'il n'avait pas l'intention d'envoyer des soldats français sur le front.
Gaza - Israël accuse le Hamas d'avoir tué les enfants Ariel et Kfir Bibas pendant leur captivité et de lui avoir remis le corps d'une autre personne inconnue à la place de celui de leur mère, Shiri Bibas.
Affaire Bétharram - Les gardes à vue vont s'achever dans la journée de vendredi pour deux anciens surveillants du collège de Bétharram, accusés par une centaine d'élèves de l'épopque de violences physiques et sexuelles. Le troisième homme, âgé de 95 ans, a lui été relâché.
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