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Un micro RTL
Crédit : RTL
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"c'était une erreur, je le regrette profondément et je m'excuse". François Fillon s'excuse mais réaffirme qu'il n'a rien fait d'illégal. Devant 200 journalistes, le candidat de la droite a assuré ne rien avoir à cacher. Il a d'ailleurs donné des chiffres précis concernant le travail de son épouse, de ses deux enfants. Ce soir, c'est très clair : il reste candidat, il sera au premier tour de la présidentielle et compte bien emporter l'élection.
S'il a décidé de faire acte de contrition, François Fillon n'a cependant pas changé d'un iota sa ligne de défense d'un point de vue purement juridique. Selon lui, le travail de sa femme et de ses enfants étaient parfaitement réels. "Oui, j'ai employé mon épouse comme collaboratrice. Elle a ensuite été la collaboratrice de mon suppléant (Marc Joulaud, ndlr), elle est encore devenue ma collaboratrice. Elle a donc occupé ce poste devant quinze ans et ceci pour un montant moyen de rémunération de 3.677 euros net. Un salaire parfaitement justifié pour une personne diplômée de droit et de lettres", a-t-il fait savoir, avant de préciser que ses enfants Marie et Charles avaient touché 3.000 euros net en moyenne.
Comme promis durant cette conférence de presse, François Fillon vient de publier sur son site internet sa déclaration de patrimoine et un tableau récapitulant les salaires de son épouse. Et puis concernant ses propos selon lesquels ce ne sont pas les bonnes instances qui enquêtent le parquet financier lui a répondu ce soir : "l'enquête se déroule avec la célérité et la sérénité appropriées".
- À Aulnay-sous-Bois, plusieurs centaines d'habitants se sont réunis en bas du domicile de Théo, en signe de solidarité. Ce jeune homme de 22 ans a été victime de violences policières jeudi dernier et aurait été violé à l'aide d'une matraque. Quatre fonctionnaires sont mis en examen, l'un d'entre eux pour viol. Depuis son lit d'hôpital, Théo raconte pour la première fois ce dont il a été victime.
- Dans le Pas-de-Calais, la population d'Aire-sur-la-Lys est sous le choc. Un petit garçon de 5 ans est mort la nuit dernière. Pour le punir d'avoir fait pipi au lit, son beau-père l'a obligé à courir en pleine nuit dehors. Yanis était-il un enfant maltraité ? Les enquêteurs explorent cette piste. La mère de la victime et son beau-père ont été évidemment placés en garde à vue.
- Les salariés de l'usine Alstom de Belfort n'ont pas de crainte à avoir selon le gouvernement. La commande de 15 rames de TGV sera confirmée avant la fin du mois affirme Christophe Sirugue, le sécrétaire d'État à l'Industrie.
- La société Carmat (qui mène des essais sur un cœur artificiel) menace de s'installer aux États-Unis. Après le 5e décès d'un patient transplanté en août dernier, Carmat accuse les autorités sanitaires de blocage.
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