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Dix ans après la dramatique canicule de 2003, les hôpitaux manquent toujours de moyens.
Crédit : AFP/Johanna Leguerre
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Des températures qui explosent, la chaleur qui s'installe, tout le territoire touché : voilà à quoi ressemblait la canicule d'août 2003. Dès la fin du printemps, il a fait très chaud en France mais la première quinzaine d'août voit se succéder des records. Tout le continent est concerné.
Les températures dépassent les 40° à Toulouse, Bordeaux, Limoges ou Montauban. Le record absolu en France est enregistré le 12 août 2003 : il fait 44,1 °C à Conqueyrac et à Saint-Christol-lès-Alès dans le Gard. A l'échelle européenne, le record est enregistré au Portugal avec plus de 47 degrés.
Tout de suite, les messages de prévention se multiplient et se tournent vers les premières victimes des fortes chaleurs, les nourrissons et les seniors.
20 ans après la canicule de 1983, la canicule de 2003 rentre tristement dans les annales avec 15.000 morts en France. Les autorités publiques sont pointées du doigt pour leur mauvaise gestion de la crise. Un "plan canicule" est créé pour faire face aux futures vagues de chaleur.
Enfin, on commence à écouter ceux qui alertent sur le réchauffement climatique. Depuis, un nouveau record de chaleur absolu a à nouveau été battu en France : le 28 juin 2019, il a fait 46°C à Vérargues dans l'Hérault. L’an dernier, l'hexagone a enregistré plus de 60 records locaux de chaleur.
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