La Guadeloupe à son tour touché par le variant britannique. Le préfet du territoire, Alexandre Rochatte, a déclaré lors d'une conférence de presse mercredi 10 mars qu'un premier cas de variant britannique avait été détecté sur l'île. Un second a été soumis à séquençage à Paris.
Jusqu'à maintenant, l'île restait sur un niveau élevé mais stable de circulation du virus : "Nous sommes sur un plateau, il faut maintenant que nous entamions la descente", a déclaré le préfet lors du point presse. Au cours de la première semaine du mois de mars, on comptait 323 cas en Guadeloupe contre 308 pour la semaine précédente. Parmi ces cas, les trois quarts concernent le variant britannique qui "circule activement et semble prendre le pas sur la souche du virus de 2020", a déclaré Alexandre Rochatte.
Le 7 mars, huit personnes étaient hospitalisées en réanimation, 22 patients étaient hospitalisés dans les services de médecine d'autres établissements de santé et quatre en soins de suite, mais aucun décès n'est à déplorer, selon ce communiqué. La Guadeloupe est également soumise à un couvre-feu à 22h, depuis dimanche.
Enfin, une "fête" clandestine a réuni samedi "entre 300 et 500 personnes", avec une "organisation payante". Les organisateurs sont poursuivis "pour délit de mise en danger de la vie d'autrui", a déclaré le préfet.
Commentaires
Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires.
Cette inscription sera valable sur le site RTL.fr.