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Bac de philosophie 2023 : découvrez les sujets et les corrigés des séries générale et technologique

Après l'épreuve de philosophie des candidats au bac des séries générale et technologique, ce mercredi 14 juin, les corrigés ont été publiés.

Des lycéens en pleine épreuve du baccalauréat (illustration).
Crédit : FREDERICK FLORIN / AFP
Eléanor Douet
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Plus de 530.000 lycées, pour la plupart assurés d'avoir leur baccalauréat, ont passés l'épreuve de philosophie ce mercredi 14 juin. Les lycéens de Terminale des séries générale et technologique ont débuté l'épreuve dès 8 heures sur un des trois sujets (deux dissertations et un commentaire de texte) prévus dans le cadre du nouveau bac mis en place en 2019.

Les épreuves terminales de ce bac nouvelle formule, entré pour la première fois pleinement en œuvre cette année, ont démarré dès mars avec les spécialités. Ces deux matières majeures, choisies par chaque lycéen en Terminale, comptent à elles deux pour un tiers des résultats de l'examen. Le grand oral aura quant à lui lieu du lundi 19 au vendredi 30 juin 2023.

Découvrez les sujets de l'épreuve de philosophie de cette édition 2023 du baccalauréat et les corrigés ci-dessous.

Série générale

Dissertation - Sujet 1
- Le bonheur est-il affaire de raison ?

À écouter aussi

Dissertation - Sujet 2
- Vouloir la paix, est-ce vouloir la justice ?

Corrigé 
Ce sujet amène le candidat à se questionner sur le double niveau de la notion de justice, à la fois légal et moral. Le sujet pose ici la question de l'équivalence, ou non, entre vouloir la paix et vouloir la justice

Voici une problématique possible pour répondre serait la suivante : quel lien existe-t-il entre la paix et la justice, s’il en existe un, d’une part, et si la paix et la justice peuvent se confondre, d’autre part, de telle sorte que leur lien serait consubstantiel ?

Le plan pour répondre à cette question pouvait être le suivant :

I) Le calme et le pacifisme impliquent le respect du droit et des droits de tout un chacun : c’est ce qui fonde la justice

a) La paix synonyme de respect de la justice.
b) Sans justice, sans lois, c’est la guerre.

II) La paix est toutefois une notion d’équilibre fragile, voire de silence ou de soumission 

a) « Avoir la paix » 
b) La paix de la soumission

III) Vouloir la paix n’est vouloir la justice que s’il s’agit de la justice en tant que vertu, non pas légale, mais morale

La paix et la justice au niveau moral
La paix comme volonté de justice, et la vertu

Retrouvez l’intégralité du corrigé de l’épreuve de philosophie pour la terminale générale sur digiSchool.fr. 

Explication de texte
Expliquer le texte suivant :
Le bricoleur est apte à exécuter un grand nombre de tâches diversifiées ; mais, à la différence de l’ingénieur, il ne subordonne pas chacune d’elles à l’obtention de matières premières et d’outils, conçus et procurés à la mesure de son projet : son univers instrumental est clos, et la règle de son jeu est de toujours s’arranger avec les "moyens du bord", c’est-à-dire un ensemble à chaque instant fini d’outils et de matériaux, hétéroclites au surplus, parce que la composition de l’ensemble n’est pas en rapport avec le projet du moment, ni d’ailleurs avec aucun projet particulier, mais est le résultat contingent de toutes les occasions qui se sont présentées de renouveler ou d’enrichir le stock, ou de l’entretenir avec les résidus de constructions et de destructions antérieures. L’ensemble des moyens du bricoleur n’est donc pas définissable par un projet (ce qui supposerait d’ailleurs, comme chez l’ingénieur, l’existence d’autant d’ensembles instrumentaux que de genres de projets, au moins en théorie) ; il se définit seulement par son instrumentalité, autrement dit et pour employer le langage même du bricoleur, parce que les éléments sont recueillis ou conservés en vertu du principe que "ça peut toujours servir". De tels éléments sont donc à demi particularisés : suffisamment pour que le bricoleur n’ait pas besoin de l’équipement et du savoir de tous les corps d’état ; mais pas assez pour que chaque élément soit astreint à un emploi précis et déterminé. Chaque élément représente un ensemble de relations, à la fois concrètes et virtuelles ; ce sont des opérateurs, mais utilisables en vue d’opérations quelconques au sein d’un type.
Lévi-Strauss, La Pensée sauvage (1962)

Corrigé 

Thème : c’est-à-dire le sujet que le texte traite. Ici, il s’agit de comprendre ce qu’est un bricoleur.
Thèse : l’avis de l’auteur sur le sujet qu’il traite. Pour Lévi-Strauss, le bricoleur se définit par rapport à l’ingénieur et en confrontation avec lui. L’auteur souligne leurs différences, même s’il existe entre eux certains points communs.
Problématique : Lévi-Strauss, en créant un concept du bricoleur, en définissant ce qui fait le propre de ce dernier, ne le place-t-il pas entre ces deux domaines classiquement distincts que sont l’art et la technique ?
Enjeux : la conception du bricolage que défend Lévi-Strauss est basée sur le clivage entre les sociétés occidentales (très modernes concernant la technologie et les outils qui lui sont offerts), et les sociétés non occidentales (plus primitives, moins avancées concernant les purs moyens techniques). Ce texte atteste donc d’un souci constant chez Lévi-Strauss : analyser des cultures et des modes sociétaux diversifiés.
I. Le bricoleur se veut plus ingénieux que l’ingénieur lui-même parce qu’il n’est pas assujetti aux matériaux dont il se sert pour exécuter ses tâches. Il est davantage inventif, créatif et libre, il se rapprocherait donc de l’artiste.
« Le bricoleur est apte à exécuter un grand nombre de tâches diversifiées ; mais à la différence de l’ingénieur, il ne subordonne pas chacune d’elles à l’obtention de matières premières et d’outils, conçus et procurés à la mesure de son projet : son univers instrumental est clos, et la règle de son jeu est de toujours s’arranger avec les “moyens du bord” [...] »
Idée : point commun entre le bricoleur et l’ingénieur : les deux ont la capacité de faire des tâches diverses et variées. Ce n’est donc pas ce qu’ils sont aptes à faire qui les distinguent, selon Lévi-Strauss, mais leur manière de procéder.
Argument : là où l’ingénieur conçoit son projet en fonction des matières premières et des outils, de telle sorte qu’il en est dépendant (Lévi-Strauss qualifie cela de « subordination »), le bricoleur est justement plus ingénieux. En s’arrangeant avec les moyens du bord, il parvient à se détacher du matériau strict et de la finalité qui pourrait y être intégrée. Autrement dit, il y a un aspect créatif, une liberté à l’œuvre chez le bricoleur, qui dépasse l’usage spécifique du matériau qu’il a sous la main pour arriver à ses fins. D’où le fait que Lévi-Strauss évoque un « jeu », un « arrangement », dans lesquels le bricoleur tire ce qu’il peut des matériaux qu’il a sous la main.
« […] c’est-à-dire un ensemble à chaque instant fini d’outils et de matériaux, hétéroclites au surplus , parce que la composition de l’ensemble n’est pas en rapport avec le projet du moment, ni d’ailleurs avec aucun projet particulier, mais est le résultat contingent de toutes les occasions qui se sont présentées de renouveler ou d’enrichir le stock, ou de l’entretenir avec les résidus de constructions et de destructions antérieures. »
Idée : Lévi-Strauss insiste, dans cette fin de phrases, sur la différence matérielle existant entre le bricoleur et l’ingénieur. Là où l’univers instrumental de l’ingénieur est ouvert, fait pour lui et en fonction de ce qu’il veut élaborer, celui du bricoleur est clos, « fini ». Il se débrouille donc avec ce qu’il a.
Argument : cela signifie que son matériel n’est pas ciblé pour son projet, donc que son projet ne dépend pas de son matériel. Il a ce sens de la débrouillardise qui le fait avancer dans ses réalisations plus librement que l’ingénieur. « Librement », parce que détaché des matériaux. C’est pourquoi Lévi-Strauss précise que son stock n’est qu’un « résultat contingent de toutes les occasions qui se sont présentées ». Loin de commander tel ou tel produit pour réaliser telle ou telle chose, le bricoleur pioche dans son stock ce qui pourrait être modelé pour mener à bien son projet.
II. Les matériaux mêmes du bricoleur le placent aussi dans cet entre-deux artiste / ingénieur parce qu’ils sont « semi particularisés » et purement instrumentaux plutôt que projectionnels.
« L’ensemble des moyens du bricoleur n’est donc pas définissable par un projet (ce qui supposerait d’ailleurs comme chez l’ingénieur, l’existence d’autant d’ensembles instrumentaux que de genres de projets, au moins en théorie) ; il se définit seulement par son instrumentalité, autrement dit et pour employer le langage même du bricoleur, parce que les éléments sont recueillis ou conservés en vertu du principe que « ça peut toujours servir. »
Idée : Lévi-Strauss poursuit son argumentation avec le concept de « projet ». À l’inverse de l’ingénieur, le bricoleur n’a pas de « projet » à proprement parler. Il œuvre en fonction de ce qu’il a déjà.
Argument : cela signifie que l’ensemble des moyens du bricoleur, contrairement à celui de l’ingénieur, ne se définit pas par une finalité ou un projet, en fonction de ce que veut en faire le bricoleur. Mais par leur instrumentalité, c’est-à-dire parce qu’ils peuvent servir.
« De tels éléments sont donc à demi particularisés : suffisamment pour que le bricoleur n’ait pas besoin de l’équipement et du savoir de tous les corps d’état ; mais assez pour que chaque élément soit astreint à un emploi précis et déterminé. Chaque élément représente un ensemble de relations, à la fois concrètes et virtuelles ; ce sont des opérateurs mais utilisables en vue d’opérations quelconques au sein d’un type. »
Idée : Lévi-Strauss va plus loin encore dans l’analyse des ressources matérielles du bricoleur : celles-ci sont « à demi particularisées ». Le mot « particularisé » est complexe : il signifie ici que le matériau n’est pas cantonné à un usage limité et unilatéral. Au contraire, le bricoleur peut se débrouiller avec lui parce qu’il sert forcément pour telle ou telle chose.
Argument : le matériau reste défini et spécifié. Le bricoleur n’est pas un artiste qui crée tout de lui-même avec des couleurs ou des formes qu’il peut modeler à l’infini. Il doit malgré tout faire avec des choses existantes, ayant donc des usages possibles. Ainsi, malgré le fait qu’il se différencie de l’ingénieur, le bricoleur lui ressemble concernant le rapport technique qu’il a avec son stock matériel. Si le bricoleur peut utiliser ses matériaux sans leur être soumis, s’il peut les dévier de leur usage strict pour réaliser des choses avec, il ne peut toutefois pas outrepasser complètement leur usage. En effet, ses matériaux font partie d’un type « fonctionnel ». Le bricoleur n’est donc, pas à proprement parler, un artiste. Cependant, sa liberté d’action par rapport aux matériaux qu’il a sous la main lui permet de pouvoir agir sans être un spécialiste. Sous la plume de Lévi-Strauss, cela s’apparente bien à quelque chose de négatif : les corps de métiers trop spécialisés arborent un savoir souvent spécifique qui les rend incompétents en dehors de leur domaine de prédilection. Le bricoleur n’est pas un ingénieur non plus. Il est moins spécialisé mais plus débrouillard, et donc plus ingénieux que l’ingénieur lui-même. Cette thèse montre donc les limites de nos sociétés occidentales ultra technicisées et ultra spécialisées, où chaque corps de métier ne sait plus que faire des choses très spécifiques.
















Série technologique

Dissertation - Sujet 1
- L’art nous apprend-il quelque chose ?

Corrigé  
Pour traiter ce premier sujet, voici une proposition de problématique et un plan de dissertation : l’art peut-il nous apprendre quelque chose et ainsi nous faire penser, ou bien est-il une illusion, inutile pour apprendre quelque chose sur nous ou sur le monde ?


I) Ce que l’art peut nous apprendre 

L’acquisition d’un savoir-faire ou d’une technique 
Idée à développer : apprendre à jouer d’un instrument, à danser = acquisition d’une technique particulière
Argument(s) : idée d’une expérience avec acquisition de connaissances diverses pour une personne qui se met à pratiquer un art. Comment tenir son instrument, comment tenir son corps pour un danseur, etc. 
Exemple(s) : 
Picasso → apprentissage du dessin figuratif vers la peinture cubiste 
Film Black Swan de Darren Aronofsky → apprentissage difficile de la danse classique

Un savoir sur le monde ancien ou d’autres cultures 

Idée à développer : l’art ne nous apprend pas seulement des choses sur nous, mais aussi sur les autres. 
Argument(s) : découvrir d’autres facettes du monde grâce aux œuvres d’art. Lévi-Strauss, Race et histoire : comprendre les spécificités de chaque peuple
Exemple(s) : 
Musée Quai Branly → rôle des masques africains dans les rites religieux 
Les gueules cassées d’Otto Dix → les traumatismes de la guerre 

L’art véritable nous apprend toujours quelque chose de nouveau 

Idée à développer : sa particularité est de donner de nouvelles règles à l’art.
Argument(s) : Kant, Critique de la faculté de juger : l’artiste est celui qui donne des règles à l’art, qui ne se contente pas de reproduire des règles comme le ferait un mathématicien ou un physicien. L’art touche notre sensibilité et non notre intellect ou notre faculté conceptuelle.
Exemple(s) : 
Poème d’Homère 
Loi de la gravité de Newton = apprentissage différent
II) L’art est une production subjective qui ne peut attendre un savoir objectif 

L’art conduit à des illusions et ne peut nous apprendre véritablement quelque chose 

Idée à développer : est-ce que l’art ne peut pas nous tromper sur le monde au lieu de nous apprendre quelque chose. 
Argument(s) : l’art est une copie du réel, mais n’est pas la réalité. Réflexion sur le caractère trompeur et partiel de l’image. Thèse de Platon, République, Livre X : bannissement des artistes de la Cité car ils incarnent la tromperie et sont éloignés du rationnel. 
Exemple(s) : 
L’art de la propagande → diffuser de fausses idées et participer à l’endoctrinement

L’art apprend à ceux qui savent déjà

Idée à développer : quand bien même nous arriverions à ne pas être dupe des images que nous voyons, la sociologie nous montre que ceux qui sont capables d’apprécier les œuvres et d’apprendre d’elles sont ceux qui ont été éduqués pour. 
Argument(s) : Bourdieu, La distinction : le bon goût n’a rien d’un don naturel, n’est pas inné, mais acquis par une éducation, la fréquentation des musées. Comment apprendre quelque chose d’un opéra, d’un tableau de Delacroix si on ne nous a pas appris à comprendre ce qu’il y avait à contempler. 
Exemple(s) : 
L'Assommoir de Zola → des personnages des classes populaires sont invités à se rendre au Louvre. Ils sont impressionnés par le lieu, la multitude de tableaux, les dorures des cadres, mais ne savent pas apprécier les œuvres. 

Apprendre à voir le monde autrement 

Idée à développer : peut-être, néanmoins, peut-on espérer que l’art puisse plaire universellement en nous touchant subjectivement indépendamment de notre culture. 
Argument(s) : la thèse de Bergson, dans La pensée et le mouvant : l’artiste, en tant qu’être distrait, qui se laisse happer par la beauté du monde, nous fait voir des choses que nous ne verrions pas car nous sommes trop préoccupés par nos activités quotidiennes, notre travail, nos obligations. Il nous apprend à voir, à travers ses œuvres, ce qui a vraiment de la valeur, une vérité qui n’est pas rationnelle ou scientifique, mais intime et sensible. 
Exemple(s) : 
Paul Klee → “l’art ne reproduit pas le visible, il rend visible”. 
La peinture de Cézanne → chatoiement des couleurs sur la Montagne Sainte-Victoire.

 Dissertation - Sujet 2
- Transformer la nature, est-ce gagner en liberté ?

Corrigé 

Pour traiter ce second sujet, voici une proposition de problématique et un plan de dissertation : la transformation, notamment technique, de la nature conçue à la fois comme l’inné et l’essence de l’homme, nous conduit-elle à gagner en liberté, c’est-à-dire en pouvoir, ou bien l’action de modifier la nature peut-elle faire perdre à l’homme toute liberté ?


I) Transformer la nature : une définition de la liberté 

L’homme, par la technique, use de sa liberté pour s’émanciper de la nature 
Ne plus être dans la dépendance de la nature, mais la dompter
Changer sa nature : voilà le propre de l’homme

II) En modifiant trop la nature : quels risques pour notre liberté ?

Nous portons atteinte à notre liberté en bouleversant les cycles naturels
Vouloir changer la nature est souvent un prétexte à la domination
Changer la nature de l’homme, être libre et mortel, n’est-ce pas porter atteinte à sa liberté ? 

Explication de texte
Expliquer le texte suivant :
Il est un degré de négligence qui paraîtrait mériter une punition quoique cette négligence n’occasionne aucun dommage à personne. Si une personne jetait une grosse pierre dans une voie publique du haut d’un mur sans en avertir les passants, et sans regarder où elle pourrait tomber, elle mériterait certainement une punition. Une police vraiment exacte châtierait une action si absurde, même si elle n’avait fait aucun mal. La personne qui s’en rend coupable fait preuve d’un mépris insolent envers le bonheur et la sécurité des autres. Il y a une injustice réelle dans cette conduite. Cette personne expose inconsidérément son prochain à ce qu’aucun homme de bon sens ne voudrait risquer ; de toute évidence elle manque du sens de ce qui est dû à ses semblables, et qui est la base de la justice et de la société. Une négligence grossière est donc, selon la loi, presque l’équivalent d’un dessein malveillant. Quand des conséquences malheureuses découlent d’une telle insouciance, la personne qui en est coupable est souvent châtiée comme si ces conséquences avaient réellement été dans son intention ; sa conduite qui était seulement insouciante et insolente, et qui méritait punition, est considérée comme atroce et passible du châtiment le plus sévère. Si une personne en tue accidentellement une autre par l’action imprudente mentionnée ci-dessus, elle est, selon les lois de nombreux pays, et notamment selon la vieille loi d’Écosse, passible du châtiment suprême. Bien que ce soit sans nul doute excessivement sévère, ce n’est pas du tout contraire à nos sentiments naturels. Notre juste indignation contre la folie et l’inhumanité de cette conduite est exaspérée par notre sympathie avec l’infortuné qui en souffre. Rien, pourtant, ne choquerait plus notre sens naturel de l’équité que de mener un homme à l’échafaud simplement pour avoir jeté avec insouciance une pierre dans la rue, sans faire de mal à personne.
Adam Smith, Théorie des sentiments moraux (1759)

Retrouvez l’intégralité du corrigé de l’épreuve de philosophie pour la terminale technologique sur digiSchool.fr.

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