Sur l'émotion, on a retrouvé 2018 : le parfum des grandes affiches, la joie immense des joueurs sur la pelouse, l'impression qu'on a vécu un match qui va rentrer dans l'histoire du foot français, un peu comme le France-Argentine de Kazan. Le fait aussi de se sortir de ce moment magique avec l'impression que cette équipe s'est prouvée qu'elle avait le mental pour aller au bout. Ils l'espéraient avant ce match, mais maintenant, ils le savent au fond d'eux même.
De l'autre côté de la Manche, les journaux se moquent surtout du capitaine de la sélection Harry Kane, qui a loupé son deuxième penalty, celui pour revenir à 2 partout en fin de match. "Il est passé de héros à zéro après avoir marqué le but égalisateur puis manqué un penalty", écrit le Sunday Times. Les joueurs français sont admirés ce matin, même si beaucoup parlent d'une équipe anglaise meilleure.
Pour Alain Boghossian, "le football, c'est imprévisible, c'est le seul scénario qu'on ne peut pas avoir imaginé. Le match s'est déroulé de la meilleure des façons parce qu'on a été dominé. Et d'ajouter : "Mais j'ai trouvé que les Bleus étaient posés, ils ont réussi à subir sans trop se découvrir. À l'arrivée, c'est l'efficacité qui a parlé, c'est la gagne."
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