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DIAPORAMA - Étoile Rouge Belgrade-PSG : à quoi ressemble le stade Marakana ?

Les Parisiens vont découvrir l'enceinte où les Napolitains ont été tenus en échec et les joueurs de Liverpool battus, et l'ambiance hostile qui va avec, mardi 11 décembre (21h) en Ligue des champions.

  • Vue générale du stade le 10 décembre 2018

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • L'interminable tunnel qui mène à la pelouse le 10 décembre 2018

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Des supporters de l'Étoile Rouge le 28 novembre 2018 face à Naples

    Crédits : Carlo Hermann / AFP

  • Au plus près de la pelouse le 27 avril 2016

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Des Serbes brûlent un drapeau croate le 6 septembre 2013

    Crédits : STR / AFP

  • Ambiance électrique lors d'un derby face au Partizan le 17 novembre 2012

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Des supporters de Bordeaux le 23 août 2012

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Vue du haut des gradins le 25 mars 2011

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Le président russe Vladimir Poutine lors d'un match entre l'Étoile Rouge et le Zénith Saint-Pétersbourg le 23 mars 2011

    Crédits : ALEXEI NIKOLSKY / POOL / AFP

  • Des forces de l'ordre le 23 octobre 2010

    Crédits : ALEXA STANKOVIC / AFP

  • Toujours le 23 octobre 2010 lors de la venue du Partizan Belgrade

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Les forces de l'ordre au pied d'un virage le 23 octobre 2010

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Des journalistes avant un Serbie-France le 9 septembre 2009

    Crédits : FRANCK FIFE / AFP

  • Raymond Domenech à l'entrée du fameux tunnel qui mène les joueurs à la pelouse

    Crédits : FRANCK FIFE / AFP

  • Le Marakana en novembre 2005

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Un jeune garçon le 15 octobre 2005

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Slogan "L'UEFA soutient le terrorisme" à l'entrée du stade le 19 octobre 2018

    Crédits : Andrej ISAKOVIC / AFP

  • Des graffitis aux abords du stade le 19 octobre 2018

    Crédits : Andrej ISAKOVIC / AFP

  • Une fresque en l'honneur de l'Étoile Rouge le 27 avril 2016

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

  • Encore un dessin à l'effigie des champions d'Europe 1991

    Crédits : ANDREJ ISAKOVIC / AFP

Grégory Fortune

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En dépit de sa rénovation en 2012, l'adjectif vétuste revient le plus souvent lorsqu'il s'agit de décrire le stade Rajko Mitic, anciennement stade de l'Étoile Rouge (stadion Crvena Zvezda en serbe), plus connu sous le nom de stade Marakana. Marakana avec un K, en référence au Maracana de Rio de Janeiro. Le parallèle date de 1964, lorsque la capacité de l'enceinte fut portée à 110.000 places, un gigantisme digne des 200.000 de celle brésilienne, ronde, aux allures de soucoupe.

De nos jours, la capacité "n'est plus" que de 55.00 sièges. Mais le Marakana reste un lieu redouté de tous les visiteurs. Les images de l'interminable couloir en béton menant à la pelouse, avec des dizaines de CRS locaux alignés, glacent le sang. Cette saison, dans le groupe C de la Ligue des champions, l'Étoile Rouge y a tenu Naples en échec (0-0), avant de battre le finaliste sortant, Liverpool (2-0).

C'est donc au tour du Paris Saint-Germain de se frotter à l'ambiance serbe, à ce public bouillant, hostile. Pour être sûr de se qualifier pour les 8es de finale sans avoir à regarder ce qu'il se passe entre Liverpool et Naples, Neymar, Mbappé et compagnie doivent s'imposer. En cas de nul ou de défaite, les hommes de Thomas Tuchel pourraient être reversés en Europa League.

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