Jeux Olympiques : Kévin Tillie, le volleyeur qui aurait dû s'appeler Kelly

Du 24 juillet au dimanche 8 août, la Table à Langé vous propose de plonger dans l'enfance d'un des membres de l'équipe de France olympique à travers le regard de l'un de ses parents, images à l'appui. Samedi 24 juillet, Laurent Tillie, entraîneur des ambitieux Bleus du volley, raconte le parcours de son fils Kévin (30 ans), de sa naissance à aujourd'hui, avec de nombreuses confidences.

Celui qui a lui aussi embrassé la carrière de volleyeur professionnel est né le 2 novembre 1990 (30 ans) à Cagnes-sur-Mer. Son père se souvient "très bien" de ce jour, mais surtout de la "très, très grande surprise" et du prénom qu'il a fallu trouver en catastrophe : "Il y avait eu trois échographies qui annonçaient que ça devait être une fille. Ma femme Caroline avait déjà trouvé le prénom, Kelly".

Bébé "plein de joie", qui "courrait dans les tous sens", était "très volubile", Kévin Tillie a appris à marcher en Italie avec un ballon dans les mains. "Au bout d'un an, il parlait toutes les langues, Italien, Hollandais, Français. Mais tout mélangé", sourit le père de deux autres garçons, Kim (33 ans) et Kylian (23 ans) "qui a été très chouchouté par Kevin".

Quelle est sa plus grande qualité ? Son défaut principal ?

Kevin Tillie était-il un bon élève, a-t-il ensuite entrepris des études ? Quels sports pratiquait-il ? Comment gère-t-on son rôle de père et de sélectionneur en même temps ? Quels rapports entretient-on avec son fils sur le terrain ? Quelle est sa plus grande qualité, son défaut principal ? Laurent Tillie dresse le portrait de Kévin, avant de lui adresser un message pour les Jeux.

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