Pierre et Myriam Cabon étaient les invités de RTL du 12 novembre 2020

Après le rejet de la taxe Zucman par l'Assemblée nationale, même dans la version allégée par le PS, le député Arthur Delaporte a fait savoir qu'"il n'y a aucune trace de compromis" de la part du gouvernement.

Un collectif d’avocats a porté plainte contre le ministre de la Justice pour "prise illégal d’intérêts" après sa visite à Nicolas Sarkozy en prison. L'un des plaignants, maître Jérôme Karsenti, explique à RTL pourquoi l'initiative a heurté la profession.

Le ministère de l’Intérieur a annoncé qu’un pic de féminicides chez les couples âgés de plus de 70 ans avait été observé en 2024.

Dans un point à la presse, la procureure de Paris a indiqué que deux hommes interpellés pour le cambriolage du musée du Louvre ont "partiellement reconnu les faits". Jacques Dallest, ancien procureur de la République, estime "qu'on ne peut pas se débarrasser facilement" de "bijoux de cette nature".

À l'occasion de la journée mondiale de l'AVC, la Cour des comptes sonne l'alerte sur la prise en charge et le suivi des patients victimes d'accidents vasculaires cérébraux. Deux ans après, Thierry garde encore des séquelles.

Depuis la crise inflationniste, les Français se restreignent quand ils font les courses, observe le PDG de Système U, Dominique Schelcher, invité de RTL, ce mardi 28 octobre.

Au lendemain de l'arrestation de deux hommes pour le cambriolage au Louvre, l'ancien patron de la Police judiciaire de Paris, Christian Flaesch, est l'invité de RTL, lundi 27 octobre.

Arthur Delaporte, député PS, a clarifié les positions socialistes vis-à-vis d’une éventuelle censure du gouvernement Lecornu avant l'examen du budget par les parlementaires.

Au micro de RTL, Pierre Moscovici a indiqué qu'il allait rendre un rapport sur le Louvre d'ici "deux semaines", qui pointe notamment les failles de sécurité du musée.

Le ministre de la Justice a assuré qu'il irait visiter Nicolas Sarkozy en prison, alors que celui-ci a été reçu quelques jours plus tôt par Emmanuel Macron. La magistrature dénonce un "traitement de faveur".