2 août : quand Alexander Graham Bell, le créateur du téléphone, disparaissait

Leurs sonneries résonnent tous les jours. Pour le réveil, pour se rappeler un rendez-vous, ou bien pour... répondre à un appel. Au vu de son utilité dans notre société, nous pourrions presque oublier pourquoi Alexander Graham Bell, inventeur écossais, s'est démené pour parler avec quelqu'un qui se trouve dans la pièce à côté sans se déplacer.

Si Marconi ou Gray ont contribué à son invention également, c'est l'Écossais qui reste dans les mémoires grâce à son avocat, qui a déposé son brevet avant ses trente ans. Celui qui a vécu en Amérique nord, et notamment aux États-Unis, a conçu "une membrane vivante à l'aide d'une peau de chamois tendu sur un cercle métallique portant en son centre un style de bois lié à un ressort". Compliqué, n'est-ce pas ?

L'essentiel, c'est que ça marche, comme en témoignent les tout premiers mots entendus à l'autre bout du fil : "Monsieur Watson, venez vite, j'ai besoin de vous." L'inventeur du téléphone n'en aura jamais chez lui...

En France, dès 1880, le pays s'équipe. L'appareil évolue au fil du temps, et l'ingénieur de Motorola, Martin Cooper, passe le premier coup de fil... sans fil de l'histoire, dans les rues de New York, le 3 avril 1973. En avril, il a expliqué avoir compris qu'un monstre était né. Il se dit "dévasté quand il voit quelqu'un traverser la rue en regardant son écran".

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