Comme la Covid-19 qui repart fortement à la hausse ces dernières semaines, la variole du singe voit sa courbe grimper également, avec 577 cas en France.
Si la transmission entre êtres humains et animaux était déjà connue, l'Anses a dévoilé un rapport, expliquant qu'une "contamination par l'alimentation n'était pas à exclure". "Un aliment peut être contaminé directement par une personne malade, en particulier si celle-ci le manipule alors qu’elle présente des lésions (…) L’aliment peut aussi être contaminé après contact avec une surface elle-même contaminée. La transmission à l’être humain par l’intermédiaire de l’aliment pourrait ensuite se produire par ingestion ou manipulation de l’aliment contaminé" explique l'Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire et nationale.
L’Anses rappelle alors qu’il ne faut ni manipuler des aliments, ni cuisiner pour d’autres personnes lorsque l’on présente des blessures infectées sur les mains, quelle qu’en soit l’origine. Cela s’applique également en cas de symptômes évoquant la variole du singe (éruptions cutanées, fièvre, maux de tête, fatigue, douleurs musculaires…).
Commentaires
Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires.
Cette inscription sera valable sur le site RTL.fr.