Le contexte. Comme souvent, c'est un tweet qui a mis le feu aux poudres, de façon tout à fait calculée. Quelques instants après l'annonce de la relaxe des deux policiers poursuivis pour la mort de deux jeunes dans un transformateur EDF à Clichy-sous-Bois en 2005, Marion Maréchal-Le Pen s'est empressée de saluer un verdict officialisant selon elle le caractère des émeutes qui avaient suivi.
Pour la députée du Vaucluse, cette décision de justice "prouve que la racaille avait bien mis la banlieue à feu et à sang par plaisir et non à cause d'une bavure policière", comme elle l'a indiqué sur le réseau social. Une saillie dévastatrice qui rappelle à beaucoup le style de son grand-père, Jean-Marie Le Pen, comme l'explique Dominique Tenza.
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