Le premier jour du bac a failli être très perturbé. D'abord, à cause de la grève des cheminots qui ne s'essouffle pas. Alors que le gouvernement s'attendait à des complications, seulement quelques retards imputables au mouvement ont été comptabilisés, selon Benoît Hamon. Un nombre équivalent aux retards d'une année "ordinaire", précise-t-il.
Autre frayeur, la divulgation des sujets de philosophie sur les réseaux sociaux avant 9h30. Mais le ministre de l'Éducation nationale tient à rassurer et explique que l'impact est "très faible". Ces informations n'ont pu servir qu'à une extrême minorité, "quelques retardataires qui (...) auraient eu le temps de consulter les sujets et réviser quelques lignes de Kant ou je ne sais qui". Pas de quoi remettre en cause l'examen, estime le ministre.
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