Valérie Trierweiler contre-attaque après les publications du "Monde" et de "Vanity Fair"
L'ancienne compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, a posté un message sur Twitter vendredi 21 février, dans lequel elle condamne la parution de deux articles, dans "Le Monde" et le "Vanity Fair" espagnol.
"Sans limite." C'est l'expression utilisée par Valérié Trierweiler pour qualifier les articles parus dans Le Monde et dans la version espagnole de Vanity Fair.
Le premier est selon elle une version "romancée" de la nuit qui a précédé les révélations de Closer au sujet d'une éventuelle liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Le second ferait état de "SMS totalement inventés", qu'auraient échangé l'ex-première dame et le chef de l’État.
Après la publication dans Closer de photos montrant François Hollande rejoindre un appartement dans lequel était entrée Julie Gayet auparavant, Valérie Trierweiler a été hospitalisée plus d'une semaine. Une fois l’officialisation de la rupture annoncée par le président de la République, elle s'est rendue en Inde, pour l'ONG Action contre la faim. Puis elle a pris des vacances à l'Ile Maurice.
Après cette affaire, la journaliste de Paris Match a porté plainte contre le magazine people à l'origine des révélations. Elle lui réclame 55.000 euros, pour atteinte à la vie privée. Si le chef de l’État a expliqué qu'il ne portait pas plainte contre Closer, Julie Gayet a également annoncé sa volonté de poursuivre le journal en justice.
- Julie Gayet : "Ce qu'a fait François Hollande est brutal", dit le frère de Valérie Trierweiler
- Julie Gayet : François Hollande ne veut pas "la sortir tout de suite"
- Valérie Trierweiler réclame 55.000 euros à "Closer" pour "atteinte à la vie privée"
- Valérie Trierweiler regrette le "manque d'élégance" de l'Élysée
- Valérie Trierweiler : "Closer" publie ses photos de vacances, son fils s'indigne