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Agnès Buzyn, le 6 mars 2019
Crédit : KENZO TRIBOUILLARD / AFP
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Comme à l'hôpital Lariboisière en début de semaine, une partie des soignants des urgences de l'hôpital parisien Saint-Antoine ne se sont pas présentés, samedi 8 juin au soir, à leur prise de service, car en arrêt maladie. Le personnel des urgences demande une prime de 300 euros nets par mois.
Sur BFMTV, Agnès Buzyn a rejeté l'idée d'une prime versée aux urgentistes. "Une prime ne permettra pas de régler la difficulté (...) Je comprends que ce soit une reconnaissance. Mais quand la préoccupation est purement salariale alors que ça dysfonctionne (...) sincèrement les problèmes ne vont pas se régler parce que je paye davantage", a indiqué la ministre des Solidarités et de la Santé.
Agnès Buzyn a rappelé qu'une "prime de risque ainsi qu'une prime de coopération étaient déjà attribuées "aux paramédicaux dans les services d'urgence". Mais elle a néanmoins reconnu que "l'on pourrait faire mieux" sur la question des salaires.
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