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Les débordements de la manifestation des "gilets jaunes", le 24 novembre 2018 sur les Champs-Élysées
Crédit : Bertrand GUAY / AFP
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Des pavés arrachés des Champs-Élysées pour être lancés en direction des forces de l'ordre. Les images des débordements parisiens de la manifestation des "gilets jaunes" continuent d'agiter la classe politique.
En Conseil des ministres, Emmanuel Macron a dénoncé, ce lundi 26 novembre, les "scènes de guerre" qui ont eu lieu "parfois" ce week-end, selon des propos rapportés par Benjamin Griveaux. Le chef de l'État a dénoncé "toute forme de complaisance vis-à-vis de ces casseurs".
"Il est difficile d'expliquer que parfois certains élus ou relais d'opinion puissent avoir une quelconque complaisance à l'égard de ces casseurs, minoritaires je le rappelle, mais néanmoins présents", a-t-il ajouté.
Vingt-huit gardes à vue ont été prolongées et 47 personnes déjà présentées à la justice sur les 103 interpellées après les violences survenues samedi lors du rassemblement parisien de la deuxième journée nationale des "gilets jaunes", a indiqué lundi le parquet de Paris.
Invité à l'antenne de RTL, Laurent Nuñez, le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, affirme que les casseurs sont issus de l'ultradroite. "Sur cette première phase de l'action, on constate qu'il y a 200 à 300 militants ultradroite qui sont les instigateurs de cette première attaque violente des forces de l'ordre", a-t-il déclaré.
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