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Marine Le Pen condamnée : Darmanin souhaite un procès en appel dans un délai "le plus raisonnable possible"

Marine Le Pen a été condamnée lundi à quatre ans de prison, dont deux ferme, et cinq ans d'inéligibilité. Elle a dénoncé une "décision politique" et annoncé qu'elle allait faire appel.

Marine Le Pen au tribunal correctionnel de Paris, le 31 mars 2025
Crédit : Alain JOCARD / AFP
La rédaction numérique de RTL
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Ce que nous savons pour l'instant
  • Marine Le Pen a été condamnée lundi 31 mars à quatre ans de prison, dont deux ferme, et cinq ans d'inéligibilité.

    Elle a annoncé sa volonté de faire appel dans les plus brefs délais dans l'espoir de pouvoir se présenter à l'élection présidentielle de 2027.
  • Interviewée sur TF1 lundi soir, Marine Le Pen a dénoncé une "décision politique" et des "réservées aux régimes autoritaires". "Je ne vais pas me laisser éliminer ainsi", a-t-elle lancé.

    Une pétition a été lancée lundi par le RN pour dénoncer la décision de justice. Le président du parti, Jordan Bardella, dénonce une "tyrannie des juges" et appelle les Français à une mobilisation populaire "pacifique".
  • Sur RTL, le procureur général près la Cour de cassation, Rémy Heitz a dénoncé les propos "inacceptables" tenus par Marine Le Pen à l'encontre du tribunal et a défendu une décision de justice qui "n'est pas politique".
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Darmanin souhaite un procès en appel dans un délai "le plus raisonnable possible"

Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a appelé à la tenue d'un procès en appel dans un délai "le plus raisonnable possible" pour Marine Le Pen.

"Le coupable, ce n'est pas le juge", insiste éric coquerel

Les arguments du camp de Marine Le Pen contre la présidence du tribunal sont retournés par le bloc central et la gauche pour qui l'indépendance et l'impartialité de la justice sont des "principes républicains" qui doivent rester intangibles.

Et ceci d'autant plus que des peines d'inéligibilité automatique en cas de détournement de fonds (4,1 millions dans l'affaire concernant Marine Le Pen) sont prévues par les lois démocratiquement votées depuis une dizaine d'années par le Parlement.

"Ce n'est pas le juge qui est responsable, le juge applique la loi qui a été décidée par le législateur", a tancé Éric Coquerel (LFI) mardi sur RMC. "Le coupable, ce n'est pas le juge, et la victime, ce n'est pas le Rassemblement national", a insisté le député Insoumis.

"C'est notre travail de faire en sorte que la loi corresponde à ce que veulent les Français".

"La France est le seul pays à faire ça" : François Bayrou n'a pas caché son malaise devant ses alliés après la condamnation de Marine Le Pen dans l'affaire des assistants de députés européens. Ce que pointe le Premier ministre, c'est l'exécution provisoire de la peine d'inéligibilité prononcée.

Écoutez la réaction de Sylvain Maillard, député Ensemble pour la République de Paris, membre de la commission de la Défense à l'Assemblée nationale. ⤵️

vidéo - rémy heitz dénonce les propos "inacceptables" de marine le pen sur rtl

"Le système a sorti "la bombe nucléaire", "tyrannie des juges", juges "rouges".... Marine Le Pen et Jordan Bardella ont multiplié les attaques au lendemain de la condamnation de la cheffe de file des députés RN à l'Assemblée.

Ces violentes critiques du RN depuis le jugement lundi midi ont poussé l'un des deux plus hauts magistrats de France, le procureur général près la Cour de cassation, Rémy Heitz, à dénoncer des propos "inacceptables" et à défendre une justice qui "n'est pas politique". Il était l'invité d'Amandine Bégot ce matin sur RTL. ⤵️

Les députés macronistes gênés par les sorties de bayrou

Selon les informations du Parisien, les commentaires de François Bayrou ce matin lors du petit-déjeuner du socle commun, ont embarrassé plusieurs députés macronistes.

"Il faut défendre l’indépendance de l’institution judiciaire et il est inquiétant de voir des responsables politiques questionner cette décision, car c'est une pente dangereuse. Je n'imagine pas que le Premier ministre de la France ne respecte pas la séparation des pouvoirs", a notamment critiqué le député Pierre-Alexandre Anglade.

Menaces envers les magistrats : "c'est scandaleux", assure Marine le Pen

Marine Le Pen qui a largement critiqué depuis lundi la décision de justice qui la concerne, a jugé "scandaleux" que les "magistrats" du tribunal de Paris l'ayant condamnée "fassent l'objet de menaces".

"Nous faisons tous l'objet d'injures et de menaces. Toute personne (...) aujourd'hui dans notre société qui prend une position quelle qu'elle soit se fait menacer et injurier. Est-ce que l'on s'en félicite? Pas du tout, on le déplore. Mais, c'est hélas devenu d'une grande banalité", a-t-elle poursuivi.

"cette sévérité a été voulue" par le RN, soutient un député LIOT

"Les cris d'orfraie de la classe politique, qui oublie qu'elle a voté elle-même ce type de lois, il y a là quelque chose qui confine au summum du ridicule", lance le député LIOT Harold Huwart, interrogé par les journalistes à l'Assemblée nationale.

"Je comprends que les électeurs qui soutiennent le Rassemblement national soient frustrés par la sévérité de la peine, mais en même temps cette sévérité a été voulue par leurs représentants qui ont voté systématiquement ces dispositions", rappelle-t-il.

"Ce jugement est une folie", déclare la présidente du groupe RN À l'Assemblée

"Ce jugement est une folie, le droit est tordu, l'élection présidentielle est l'objectif assumé de cette décision, la magistrate enjambe les élections municipales, d'éventuelles élections législatives anticipées. (…) Vouloir forcer le bras des électeurs est une honte absolue, il n'y a pas un seul pays où les choses se déroulent ainsi", a déclaré Marine Le Pen.

"Le système a sorti la bombe nucléaire", lance Marine Le Pen

Marine Le Pen s'est exprimé ce mardi matin devant les députés du Rassemblement National après sa condamnation. "Le système a sorti la bombe nucléaire. S'ils utilisent une arme aussi puissante contre nous, c'est que nous sommes sur le point de gagner les élections", a-t-elle affirmé.

"Un Premier ministre n'a pas à commenter des décisions de justice"

À la suite des propos de François Bayrou ce matin lors du petit-déjeuner du socle commun à Matignon, la présidente du groupe LFI à l'Assemblée, Mathilde Panot, a réagi. "Un Premier ministre n'a pas à commenter des décisions de justice", a-t-elle affirmé. "Je trouve ça absolument scandaleux".

Mathilde Panot (LFI) Apporte son soutien à la juge Bénédicte de Perthuis

Lors d'un point presse à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI a apporté son soutien à la juge Bénédicte de Perthuis, visée par des menaces de mort. "Je trouve inacceptable que la magistrate soit aujourd'hui sous protection policière", a-t-elle déclaré en dénonçant "les méthodes de l'extrême droite".

Sandrine Rousseau déplore une "minimisation du jugement" de Marine Le Pen

Interrogée par BFMTV sur les propos de François Bayrou, Sandrine Rousseau a réaffirmé l'importance de l'indépendance de la justice. "Je ne sais pas quoi répondre à cela, si ce n'est que la justice est indépendante dans notre pays, qu'elle fait partie des institutions importantes, vraiment fondamentales de notre démocratie", a déclaré la députée écologiste.

"Quand j'entends cette minimisation du jugement, je dis toute ma solidarité au contribuable européen qui a été spolié dans cette affaire", poursuit-elle.

8 millions de téléspectateurs ont suivi l'interview de Marine Le Pen

Marine Le Pen a donné une interview lundi soir au JT de TF1 devant quelque 8 millions de téléspectateurs, soit une part d'audience (PDA) de près de 40%, a annoncé la chaîne. C'est bien plus que les scores habituellement enregistrés par ce programme.

Sur TF1, la députée du Pas-de-Calais a dénoncé une "décision politique", un "jour funeste pour notre démocratie" et "des pratiques que l'on croyait réservées aux régimes autoritaires".

"La France est le seul pays à faire ça", déplore François Bayrou

Selon nos informations, François Bayrou a réagi ce matin à l’exécution provisoire infligée à Marine Le Pen. "La France est le seul pays à faire ça", a regretté le Premier ministre lors du petit-déjeuner du socle commun ce matin à Matignon, selon plusieurs participants.
"Il est mal à l’aise sur le fait que ce type de mesure [l’exécution provisoire] sème le doute chez nos concitoyens et alimente la défiance envers la justice", rapporte un participant.

Selon un chef de groupe, François Bayrou a reconnu par ailleurs avoir "soutenu" la loi Sapin 2 qui introduit une peine d’inéligibilité automatique en cas de manquements au devoir de probité des élus, "parce que c’était dans l’air du temps", rapporte-t-il, évoquant l’embarras du chef du gouvernement aujourd’hui.

Une pétition de la gauche pour défendre "l'indépendance" de la justice

Après l'annonce hier après-midi du lancement d'une pétition par le RN pour contester la décision du tribunal, le Parti socialiste a lancé lui aussi sa propre pétition pour "défendre l'indépendance de la justice", soutient ce matin sur Public Sénat, Patrick Kanner.

Le sénateur socialiste du Nord dénonce "des pratiques factieuses", "de plus en plus incarnées par l'extrême-droite".


"Le coupable ce n'est pas le juge", rappelle éric coquerel

Invité sur RMC de matin, Éric Coquerel, député La France insoumise, a souhaité rappeler que "le coupable ce n'est pas le juge et la victime ce n'est pas le Rassemblement national". "Le juge applique la loi qui a été décidée par le législateur", insiste-t-il.

Une Pétition victime de son succès ?

Le Rassemblement national a lancé une pétition pour dénoncer la décision de la justice, une pétition qui a "tellement trouvé d'écho qu'elle a fait sauter notre serveur", indique le maire de Perpignan sur BFMTV et RMC, ce mardi matin. "Les gens sont indignés", assure-t-il.

Le site du Rassemblement national et sa page dédiée à la pétition est toujours inaccessible ce matin.

Louis Aliot dénonce une "disproportion des peines"

Invité sur le plateau de BFMTV et RMC, le maire de Perpignan, Louis Alliot, condamné lui aussi dans l'affaire des assistants parlementaires du RN, a dénoncé une "disproportion des peines qui ont été prononcées".

"Il y a des conséquences irréversibles et la juge n'en a pas tenu compte", déplore-t-il.

Jordan Bardella favori de l'élection présidentielle ?

Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour RTL publié ce mardi 1er avril 2025, l'actuel président du parti Jordan Bardella arriverait largement en tête des intentions de vote du premier tour de l'élection présidentielle de 2027.

35 à 36% des Français se sont dit prêts à voter pour Jordan Bardella après l'annonce de l’inéligibilité de Marine Le Pen.

"des millions de citoyens privés de représentation", selon Meloni

Dans une déclaration au journal italien Il Messaggero publiée ce mardi, la Première ministre italienne Giorgia Meloni a estimé que la condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d'inéligibilité privait "des millions de citoyens de représentation".

"Personne n'ayant à cœur la démocratie ne peut se réjouir d'une sentence qui frappe le leader d'un grand parti et prive des millions de citoyens de représentation", a-t-elle déclaré admettant toutefois ne pas connaître "le bien-fondé des accusations contre Marine Le Pen, ni les raisons d'une décision aussi forte".

LE RN n'hésitera pas à censurer le gouvernement

Sur Cnews et Europe 1, le président du Rassemblement national Jordan Bardella a indiqué que les députés de son parti n'hésiteront pas à censurer le gouvernement si le premier ministre ne prend pas en compte les grands axes du RN.

Dans le cas où de nouvelles élections législatives seraient organisées, Marine Le Pen perdrait alors son mandat de députée et ne pourrait pas se représenter.

"on ne peut pas dire que la démocratie n'a pas fonctionné"

"La décision peut ne pas plaire, mais on ne peut absolument pas dire que la démocratie n'a pas fonctionné", déclare sur RTL Rémy Heitz procureur général de la Cour de cassation. "Ce n'est pas une décision politique".

"La décision a été rendue au terme d'un procès qui a tout d'un procès équitable, à la suite d'un débat contradictoire qui a duré deux mois, après une instruction qui a duré des années, avec une motivation qui a été lue, explicitée en audience publique. C'est une décision qui a été rendue par une collégialité de trois magistrats indépendants, impartiaux", martèle-t-il.


Réécoutez l'interview de Rémy Heitz sur RTL ⤵

Le RN organise des mobilisations de soutien

Dès ce matin, une opération de tractage est prévue par les militants RN sur le marché d'Hénin-Beaumont, ville de Marine Le Pen. Une mobilisation qui devrait être suivie dans d'autres villes. "Nous allons ce week-end organiser des distributions de tracts, des mobilisations démocratiques, pacifiques, sereines", a indiqué le président du parti, Jordan Bardella sur CNews et Europe 1.

"c'est la tyrannie des juges", dénonce Jordan Bardella

Sur CNews et Europe 1 Jordan Bardella a dénoncé ce matin une "tyrannie des juges". "Je dis aux autres partis : aujourd'hui c'est nous, demain c'est eux, aujourd'hui c'est plus la République des juges, c'est la tyrannie des juges", a-t-il insisté.

"Cette décision est disproportionnée", déclare Jordan Bardella

"Cette décision est disproportionnée, elle ne s'inscrit pas dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel, il s'agit d'une violation pure et simple de l'État de droit", assure Jordan Bardella. sur CNews et Europe 1, ce mardi matin.


"On prive des millions et des millions de Français de leur candidate naturelle et légitime", déplore le président du Rassemblement National.

"Nous ne sommes pas en dictature", lance olivier faure

"Le RN n'est pas empêché, il n'est pas interdit. Nous ne sommes pas passés en dictature", a déclaré Olivier Faure sur RTL. Le premier secrétaire du Parti socialiste estime qu'une candidature de Jordan Bardella à la présidentielle serait tout aussi inquiétante. "Jordan Bardella, Marine Le Pen, même combat", a-t-il lancé.

Réécoutez l'interview d'Olivier Faure sur RTL

"Marine Le Pen et Jordan Bardella ont les soutiens qu'ils méritent"

Depuis l'annonce de sa condamnation, plusieurs responsables politiques d'extrême droite ont défendu l'ex-présidente du Rassemblement National, notamment Vladimir Poutine, Donald Trump ou encore Jair Bolsonaro, ancien président du Brésil.

"Marine Le Pen et Jordan Bardella ont les soutiens qu'ils méritent", a estimé sur RTL, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste. "Tous ceux qui appartiennent à cette internationale réactionnaire, qui ont tous dans leur pays respectif mis au pas la justice et fait en sorte qu'elle soit simplement l'appendice du pouvoir", a-t-il précisé.

Bayrou troublé : "le signe qu'il envoie n'est pas le bon" selon Faure

François Bayrou s'est dit "troublé" par la condamnation de Marine Le Pen, lundi 31 mars. Invité sur RTL, mardi matin, Olivier Faure a réagi au trouble du premier ministre en indiquant que "le signe qu'il envoie n'est pas le bon".


"Quand on est premier ministre, quand on a la charge des affaires de l'État, la charge de la défense de la République, on ne peut pas être troublé par une décision de Justice", a-t-il ajouté

"des juges prennent le pouvoir", assure Laurent Jacobelli

"Ce qui se passe dans notre pays aujourd'hui est extrêmement grave, des juges prennent le pouvoir", lance sur LCI Laurent Jacobelli, Vice-Président du groupe RN à l'Assemblée, qui "demande l'application du droit".

"La présidente du tribunal dit qu'elle fait appliquer cette loi parce qu'il y a un risque de récidive. Quelle récidive ? Marine Le Pen n'est plus député européen", explique-t-il.

"Une décision d'élimination délibérée", lance l'avocat de Marine Le Pen

L'avocat de Marine Le Pen, Me Rodolphe Bosselut, dénonce sur RTL une "décision d'élimination délibérée". "Je ne fais pas de procès d'intention. Je constate un résultat. Le résultat, c'est qu'en l'état actuel de cette décision, elle ne peut pas se présenter", précise-t-il.

L'avocat a déjà indiqué lundi que Marine Le Pen fera appel de cette décision.

Réécoutez l'interview de Me Rodolphe Bosselut

Washington juge l'exclusion de candidats "préoccupante"

Lundi soir, l'administration Trump a réagi à la condamnation de Marine Le Pen. Elle a estimé que l'exclusion des candidats à la vie politique était "préoccupante", tout en faisant un rapprochement avec les affaires judiciaires du Président américain.


"L'exclusion de personnes du processus politique est particulièrement préoccupante compte tenu de la guerre judiciaire agressive et corrompue menée contre le président Donald Trump ici aux États-Unis", a déclaré à la presse la porte-parole du département d'Etat, Tammy Bruce.

Jordan Bardella pour succéder à Marine Le Pen ?

Depuis l'annonce du délibéré, l'hypothèse Jordan Bardella pour succéder à Marine Le Pen est sur toutes les bouches, des adhérents aux cadres du Rassemblement national. Il est "un atout formidable (…) j'espère que nous n'aurons pas à user de cet atout plus tôt qu'il n'est nécessaire", a jugé Marine Le Pen sur le plateau de TF1 lundi soir.

"Personne n'est irremplaçable, mais les gens ne sont pas interchangeables", a estimé le député RN Franck Allisio, invité sur RTL. "C'est-à-dire que ce dont on prive les Français aujourd'hui, c'est quelqu'un avec qui ils ont établi un lien charnel. Pour eux, ce n'est pas Marine Le Pen, c'est Marine. Quelqu'un qui a refondé sa famille politique."

Bienvenue sur ce live

Bonjour et bienvenue sur ce live dédié à la condamnation de Marine Le Pen au procès des assistants parlementaires du RN. La justice a condamné lundi la patronne des députés du Rassemblement national à quatre ans de prison, dont deux ferme, et cinq ans d'inéligibilité.

Marine Le Pen a réagi à cette condamnation lundi soir sur le plateau de TF1. Elle a dénoncé une "décision politique". Selon elle, "l'État de droit a été totalement violé par la décision" de la justice.

Elle a confirmé sa volonté de faire appel de la décision, demandant que "la justice se hâte", pour assurer une audience et une décision à temps pour la prochaine présidentielle.

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