Affaire Bayou : "Je protège le combat des femmes et je continuerai à le protéger", persiste Sandrine Rousseau

Sandrine Rousseau persiste et signe. Elle ne regrette pas d'avoir révélé les accusations de violence psychologique qui visent Julien Bayou. La députée écologiste est vivement critiquée depuis les révélations de Libération, selon lesquelles l'ancien patron des Verts aurait été sous la surveillance d'un collectif de féministes qui aurait enquêté sur sa vie privée pour le faire tomber. Un article trompeur, dénonce Sandrine Rousseau chez nos confrères de France 3.

"Non seulement je n'étais pas au courant et absolument pas au courant et d'aucune manière, mais en plus, j'ai lu l'article et cet article me semble extrêmement problématique sur le fond. On parle de mise sous surveillance alors qu'en fait ce qui s'est passé c'est qu'il y a des femmes qui se sont parlé entre elles parce qu'elles ont estimé qu'il était nécessaire de protéger d'autres femmes", explique-t-elle. 

"Je ne regrette absolument rien et vous ne me ferez rien regretter. J'ai répondu en tant que citoyenne dans un moment où il fallait de la transparence. C'est ce que j'ai garanti en posant cette parole, je protège le combat des femmes et je continuerai à le protéger. Si je dois quitter la politique pour avoir défendu les femmes, eh bien ce sera un honneur", conclut Sandrine Rousseau sur France 3.

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