Mort d'un principal à Lisieux : le "cri de colère" de sa veuve sur RTL, qui dénonce "de nombreuses zones d'ombre"

Le décès de Stéphane Vitel avait été jugé suspect dans un premier temps avant que l’autopsie révèle une pathologie cardiaque non soignée. La famille n’est pas de cet avis.

Les hommages des parents et des élèves ont été nombreux à Lisieux

Crédit : LOU BENOIST / AFP

LISIEUX - Mort d'un principal : le "cri de colère" de sa veuve qui dénonce "de nombreuses zones d'ombre"

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Cette affaire avait défrayé la chronique au moment des faits. Le 11 août 2023, Stéphane Vitel, un principal du collège de Lisieux (Calvados), a été retrouvé mort dans son établissement, après le déclenchement d'une alarme anti-intrusion. Deux garçons de 17 et 19 ans avaient forcé une porte avant de s'enfuir aussitôt. Ils avaient été rapidement disculpés par les enquêteurs. Un problème médical chez la victime, un père de famille de 48 ans, avait été privilégié.

"On ne peut pas affirmer qu'il soit décédé de mort naturelle", affirme Jeanne Mailhos-Vitel, l'épouse du défunt, au micro de RTL. "C'est un peu un cri de colère. Je suis en désaccord avec ce que le procureur de la République a communiqué aux médias", dit-elle, évoquant de "grosses zones d'ombre et d'informations à vérifier".

La famille demande également le soutien du Premier ministre Gabriel Attal pour que la mention "Mort pour le service de la République" soit décernée à Stéphane Vitel.

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