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Les infos de 5h - Accident de car dans les Pyrénées-Orientales : ce que l'on sait des circonstances du drame

"Mes pensées vont aux familles des victimes et à tous les blessés", a écrit le ministre des Transports, François Durovray, sur son compte X (ex-Twitter). Une enquête a été ouverte.

Un véhicule de pompiers (illustration)

Crédit : KENZO TRIBOUILLARD / AFP

Le journal RTL de 5h du 02 décembre 2024

00:08:25

Patrick Tejero - édité par Baptiste Marin

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Un grave accident de car s'est produit, dimanche 1er décembre, dans les Pyrénées-Orientales. Le véhicule, venu de Barcelone pour une sortie en Andorre, transportait 47 personnes. Il s'est encastré dans une falaise. Le bilan est lourd. Ce drame a fait au moins deux morts et dix blessés graves, selon la préfecture.

Les circonstances de cet accident commencent à se préciser. Le conducteur, légèrement blessé, pourra donner sa version aux enquêteurs. L'épave du bus est en cours d'expertise. Dans le village de Porté-Puymorens, une hypothèse s'impose. "Apparemment, les freins auraient lâché et il a percuté la falaise dans un virage au-dessus du village", raconte Colette Sarda, 2e adjointe au maire.

"On accueille tous les gens qui ne sont pas blessés", poursuit-elle au micro de RTL. Les passagers sont majoritairement d'origine espagnole. Des Colombiens se trouvaient également dans le véhicule. Ces personnes étaient venues faire des courses pour Noël en Andorre afin de profiter des prix bas. Elles étaient parties de Barcelone dans la matinée pour préparer les fêtes. Leur voyage s'est terminé en tragédie. 

À écouter également dans ce journal

Budget - Michel Barnier est au pied du mur. Le Premier ministre a mis fin aux discussions avec le Rassemblement national sur le budget de la Sécurité sociale, soumis à partir de ce lundi 2 décembre aux députés. Le chef du gouvernement est plus que jamais sous la menace d'une censure. 

Stellantis - Coup de tonnerre dans le monde de l'automobile avec la démission de Carlos Tavares, le patron du groupe. Ce dernier avait de nombreux désaccords avec le conseil d'administration du constructeur. 

États-Unis - Quelques semaines avant son départ de la Maison-Blanche, Joe Biden a décidé de gracier son fils Hunter. Le président américain revient donc sur sa parole. "Hunter a été pointé du doigt uniquement parce qu'il s'agit de mon fils", a notamment confié le démocrate. 

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