Elle a donc menti. La jeune Lisa, qui avait brièvement disparu en début de semaine lors d'un jogging a reconnu vendredi 12 novembre qu'elle n'avait été ni enlevée, violentée. Au cours d'une audition beaucoup plus longue que celle qui avait eu lieu mercredi, au lendemain de sa réapparition, l'adolescente de 17 ans est passée aux aveux à la gendarmerie de Château-Gontier.
La jeune femme a été interrogée pendant six heures par les enquêteurs, accompagnés d'une victimologue spécialisée dans le recueil de ce type de parole. Depuis son retour, les gendarmes avaient des doutes car la nature de ses blessures ne collaient pas avec son récit et il était pour eux impossible de retrouver la trace d'une camionnette verte.
Tout cela pouvait également être dû au choc. Les enquêteurs ont donc voulu en avoir le cœur net. Face à eux, Lisa a donc fini par avouer avoir menti et être désolée d'avoir causé une mobilisation aussi importante. Pour rappel, près de 200 gendarmes ont sillonné la zone où elle se trouvait mardi, au plus fort des recherches.
Le procureur de Laval explique que, pour l'heure, "les raisons de son mensonge sont inexpliquées". De son côté, un proche de l'enquête décrit à RTL "une lycéenne fragile psychologiquement". Désormais, c'est une autre procédure qui s'ouvre contre elle, avec une enquête pour dénonciation d'infraction mensongère. Un délit qui selon les textes peut être puni d'une peine maximale allant jusqu'à six mois de prison ferme et 7.500 euros d'amende.
Covid-19 - Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé, vendredi 12 novembre, qu’il s’apprêtait à décréter le confinement des personnes non vaccinées et des patients pas encore guéris, dans le cadre d’un retour de l'épidémie de la Covid-19. Le dirigeant attend désormais l’aval de son Parlement.
Faits divers - Une information judiciaire pour "viol" a été ouverte le 12 juillet après des accusations d’une militaire de l’Élysée contre un autre militaire. Les faits se seraient produits dans des locaux de l’état-major particulier de l’Élysée le 1er juillet, en marge d’un pot de départ de trois collaborateurs.
Football - Le Paris Saint-Germain a demandé à la Fédération française de football (FFF) à ne pas disputer le choc de D1 Arkema, dimanche 14 novembre contre l’Olympique Lyonnais en raison de l’agression de Kheira Hamraoui et de la garde à vue dans ce dossier de sa coéquipière d’Aminata Diallo.
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