Le journal de 22h : deux collégiens toujours dans un état critique après la chute d'un silo à grain

REPLAY - Mardi 8 mars, un silo à grain s'est effondré sur plusieurs collégiens en visite dans une ferme pédagogique.

Un micro RTL

Crédit : RTL

Journal de 22h du 08 03 16

00:14:59

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Deux collégiens sont toujours dans un état critique au CHU de Lille après la chute d'un silo à grain dans une ferme pédagogique près de Pont-sur-Sambre, dans le Nord. Leur pronostic vital est toujours engagé. Ce mardi après-midi, deux classes de 6e se trouvait dans cette ferme, qui a l'habitude de recevoir des élèves. 39 collégiens et 3 accompagnateurs étaient présents lorsque le stock de nourriture, de 3 mètres de haut est tombé sur des élèves. Certains ont été ensevelis plusieurs minutes. D'importants moyens de secours ont été dépêchés sur place. En tout, 11 élèves ont été blessés. Une cellule psychologique a été mise en place pour accompagner les adolescents âgés de 11 et 12 ans.

À écouter également dans ce journal

- Grosse journée de mobilisation demain dans les rues de France contre la loi El Khomri, à l'appel des syndicats et des organisations étudiantes. Les étudiants devraient être particulièrement présents dans les manifestations. Depuis Venise, François Hollande leur a demandé "du temps à la concertation".

- Les candidats à l'agrégation doivent s'organiser s'ils veulent arriver à l'heure au concours demain. Aucun retard ne sera toléré alors que la RATP et la SNCF ont déposé un préavis de grève. Seul le trafic du métro devrait être normal.

- Nathalie Kosciuscko-Moriset a annoncé sa candidature à la primaire de la droite et du centre ce 8 mars au 20h de TF1."Je suis candidate pour donner à chacun les moyens, la maîtrise de sa vie. Je veux porter une conception différente du pouvoir", a expliqué l'ancienne numéro 2 des Républicains.

- Il y a trois jours, Juliette, 16 ans, se suicidait en se jetant sous un train à Lisieux. La jeune fille ne supportait pas que des images privées la concernant soient diffusées dans son collège. Aujourd'hui, Véronique, sa mère, en appelle à la ministre de l'Éducation nationale et à la justice pour que les responsables "payent".

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