On découvre ce jeudi 28 décembre au soir qui était le chauffard meurtrier de l'autoroute A6. Il s'agit d'un homme de 69 ans qui a pris l'autoroute à contresens sur une quinzaine de kilomètres en Saône-et-Loire. Il n'a pas réagi aux appels de phares, avant la collision mortelle avec une autre voiture. L'accident a fait trois morts décimant une famille. Le chauffard conduisait sous l'empire de stupéfiants et il avait bu beaucoup d'alcool avant de prendre le volant.
Il était ivre avec 1,91 gramme d'alcool dans le sang et, l'analyse est formelle, il avait consommé du cannabis. Le chauffard conduisait sous l'emprise de stupéfiants et il avait bu beaucoup d'alcool avant de prendre le volant. On comprend mieux pourquoi cet homme, qui avait donc 69 ans, n'a absolument pas réagi quand le véhicule s'est porté à sa hauteur sur l'autoroute pour tenter de le faire s'arrêter.
Il n'a jamais freiné. Les enquêteurs essaient d'en savoir plus sur cet homme en tentant de retrouver des proches mais il vivait a priori assez isolé juste à côté de la petite ville de Cluny en Saône-et-Loire à une vingtaine de kilomètres de là où s'est produit l'accident. Par ailleurs, les gendarmes ne comprennent toujours pas comment et à quel endroit précisément il a pris l'autoroute à contresens.
- Que faire des djihadistes et des enfants de djihadistes de retour en France ? La question se pose à nouveau après l'arrestation de trois Français mi-décembre en Syrie. Parmi eux, Thomas Barnouin, une figure des filières djihadistes dans le sud-ouest, un proche de Mohamed Merah. La mère d'une des victimes de Merah réclame d'ailleurs son extradition en France de Thomas Barnouin. Cet homme de 36 ans habitait à Albi dans le Tarn.
- C'est une première en France. Une enquête est ouverte pour "obsolescence programmée" et pour "tromperie" à l'encontre du fabricant d'imprimantes Epson. Après les téléviseurs, les aspirateurs, ou les smartphones bridés. C'est la première fois que la justice française ouvre une enquête pour "obsolescence programmée".
- C'est une conséquence directe de la réforme du Code du travail par ordonnances voulue par Emmanuel Macron. Plusieurs grands groupes envisagent des "ruptures conventionnelles collectives". Une façon de se séparer de salariés en évitant de passer par un plan social, beaucoup plus contraignant. C'est envisagé par le groupe automobile PSA, qui affiche par ailleurs de très bons résultats avec Peugeot et Citroën. C'est aussi le cas dans les magasins Pimkie. Dans les deux cas, des négociations sont prévues à la rentrée.
- L'ancien footballeur George Weah sera-t-il le prochain président du Liberia ? Le pays de l'ouest africain est dans l'attente des premiers résultats partiels qui devraient tomber en cette fin de journée. L'ancien Ballon d'Or est le favori de l'élection face au vice-président sortant.
- En sport, le monde du rugby se pose des questions après l'éviction de Guy Novès ! Le nouveau sélectionneur Jacques Brunel veut s'entourer de "quatre ou cinq" entraîneurs de club pour relever le niveau des Bleus. Mais le président de la Ligue, Paul Goze, s'interroge sur la faisabilité.
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