Le 7 juin dernier, des procureurs ont demandé des moyens supplémentaires pour lutter contre les violences conjugales, avec, par exemple un assistant spécialisé ou un juriste assistant qui serait dédié à cette grande cause nationale.
"Le fait d'avoir des moyens suffisants ne nous empêche pas d'agir", démarre Catherine Champrenault en reconnaissant "qu'on agirait mieux" avec plus de moyens. "Un des problèmes de la lutte contre les violences conjugales c'est que souvent, les uns et les autres, police et justice, peuvent donner l'impression et de temps en temps c'est une réalité, de travailler en silo. Effectivement ce qui est important, c'est de très largement pouvoir communiquer", poursuit-elle.
"Après le Grenelle des violences conjugales, nous avons pu identifier ce qu'on appelle les angles morts de la lutte contre les violences conjugales et nous avons porté un certain nombre d'actions et notamment une action (...) c'est de pouvoir désigner des experts qui auront le temps de faire une expertise approfondie sur la dangerosité criminologique de l'auteur d'une violence conjugale", précise la Procureure générale près de la Cour d'appel de Paris.
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