Intégralement placée sous couvre-feu à 18h depuis samedi 16 janvier et pour une période minimale de deux semaines, la France continue de tenter de faire face à l'épidémie de coronavirus, dix mois après la mise en place du premier confinement. La police, elle, est à l'œuvre pour interrompre les fêtes sauvages.
Les forces de l'ordre ont ainsi été contraintes d'intervenir ce week-end à Saint-Martin-d’Hères (Isère), dans la périphérie de Grenoble, où quelque 200 personnes s’étaient réunies dans un hangar. Trente-huit procès verbaux ont été dressés. L’organisateur de la soirée a pu être identifié.
À Strasbourg (Bas-Rhin), ce sont près de soixante-dix personnes qui on été prises en flagrant délit dans des locaux industriels, entraînant quatorze verbalisations. Enfin, à Limoges (Haute-Vienne), l’organisateur d’une soirée illégale réunissant une trentaine de fêtards a été placé en garde à vue.
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