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Une photo de Véronique Monguillot et Philippe Monguillot lors d'une marche blanche à Bayonne, dans le sud-ouest de la France, le 8 juillet 2020.
Crédit : GAIZKA IROZ / AFP
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C'est l'incompréhension qui domine chez Véronique Monguillot, la veuve du chauffeur de bus mortellement agressé en juillet 2020 à Bayonne. Le juge d'instruction a décidé de renvoyer les deux agresseurs de 24 ans - non pas devant les assises, comme le demandait le parquet - devant une cour criminelle, les faits ayant été requalifiés d'homicide volontaire à "violences volontaires en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner".
"C'est le monde à l'envers, ce n'est pas le procès des accusés mais celui de mon époux", dénonce Véronique Monguillot au micro de RTL, mercredi 18 mai. "Il y a eu une extrême violence au niveau de la tête, ce jour-là. C'était terrifiant, terrible. Il y avait une volonté de tuer."
Philippe Monguillot a été victime d'une agression, roué de coups et grièvement blessé à la tête alors qu'il voulait contrôler le ticket d'une personne et exigeait le port du masque pour trois autres passagers, en juillet 2020. Depuis, sa famille en deuil "survit". "On trouve le temps trop long (presque deux ans)... On est en suspension, on ne peut pas vivre tant que le procès ne sera pas passé, tant que les accusés ne seront pas punis", explique la veuve.
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