Selon un sondage de Pew Research Center, 59% des Américains sont mécontents du président Trump. 40 % seulement se disent satisfaits. Pour la chaîne américaine CNN, c'est simple, c'est inédit depuis au moins 7 décennies.
À New York pourtant, les électeurs américains laissent encore le bénéfice du doute à Donald Trump, pas forcément choqué par ses outrances de début de mandat. Dans cette ville à majorité démocrate et pro-Biden, les électeurs de Donald Trump ont été bien plus nombreux. Et après 100 jours de mandat, ils reconnaissent que les débuts ont été intenses, mais que c'était presque nécessaire : "Je suis satisfaite, je viens de l'Ohio. Trump au moins, il fait des choses, plutôt que Biden, où on avait l'impression que beaucoup de questions majeures étaient minimisées."
Un narratif poussé par le président des États-Unis pendant toute sa campagne. Et ce qui a marqué la jeune femme, ce sont les droits de douane : "L'Amérique reste l'endroit le plus sûr pour investir. C'est difficile en ce moment, mais quand on prend du recul, le marché n'a baissé que de 5 %. Ça aurait pu être 20 %. Il y a des secousses, et surtout les gens n'aiment pas l'incertitude ni le changement."
Cet autre New Yorkais a lui aussi observé attentivement les 100 premiers jours du Président. "J'essaie de trouver la raison derrière cette folie". Même s'il se dit surpris du rythme, il veut laisser du temps au républicain : "On va peut-être assister à une sorte de redémarrage. Là c'est peut-être une erreur en ce moment, oui, mais peut-être qu'on va en tirer quelque chose." Beaucoup d'électeurs veulent parier sur le temps long et estiment qu'il est encore bien trop tôt pour faire un premier bilan.
Cyberattaques - La France accuse la Russie d'être derrière plusieurs cyberattaques pendant les Jeux olympiques et paralympiques par exemple, ou encore la campagne d'Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle de 2017.
Prisons - Éric Dupond-Moretti est vent debout contre la proposition de Gérald Darmanin de faire payer les détenus en prison. Sur RTL, l'ancien ministre de la Justice a parlé d'"une hérésie" : "Je pense qu'on est dans la course démagogique. Il faut vraiment que ça s'arrête. Cela me paraît ubuesque".
Affaire des emplois fictifs - Quatre ans de prison avec sursis ont été requis contre François Fillon. Si sa culpabilité est définitive, et donc non discutée, c'est la sanction qui est en débat.
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