"J’ai sacrifié ma carrière" : la DRH au cœur du scandale de la Kiss Cam du concert de Coldplay, sort du silence

Elle est devenue virale à cause d'un concert de Coldplay. En juillet, une vidéo montrant deux personnes enlacées, tentant de se cacher lors du passage de la "kiss cam", a suscité une vive polémique.

La réaction particulière des deux amants durant a vite mené à une enquête amatrice en ligne pour découvrir leur identité et, éventuellement, le pourquoi du comment. Très vite, des internautes se sont rendus compte qu'il s'agissait d'Andy Byron, le PDG de l'entreprise américaine Astronomer et de sa collaboratrice, Kristin Cabot. Problème : l'homme de 50 ans, qui fait partie des grandes richesses des États-Unis, n'est pas marié à son employé. 

Ironie du sort, il a été révélé, peu après la polémique, que le mari de la DRH était également présent au Gillette Stadium de Boston, avec sa "petite amie". Il a ensuite expliqué qu'il était séparé de Kristin Cabot depuis plusieurs semaines.

J'ai fait un mauvais choix

Kristin Cabot

Plusieurs mois après cette affaire, qui a mené à la démission d'Andy Bryon et Kristin Cabot, la quinquagénaire a accordé un entretien exclusif au New York Times afin de rétablir la vérité et partager sa vision des faits. 
 
"J'ai fait un mauvais choix, j'ai bu quelques verres, j'ai dansé et j'ai eu un comportement inapproprié avec mon patron. Ce n'est pas anodin", a-t-elle indiqué au journal. Selon elle, "j'ai assumé mes responsabilités et j'ai sacrifié ma carrière à cause de ça. C'est le prix que j'ai choisi de payer." Six mois plus tard, elle est toujours en recherche d'un nouvel emploi. L'ancienne DRH, en pleine reconstruction personnelle, a dit qu'elle avait acheté un t-shirt, créé par Victoria Beckham, portant les mots "oui, c'est moi". 

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Très attachée à ses deux enfants, elle a confié à l'intervieweur que "je veux que mes enfants sachent qu’on peut faire des erreurs, et qu’on peut vraiment tout gâcher". Kristin Cabot a également révélé qu'elle vit un véritable enfer depuis l'incident, affirmant être visée de nombreuses menaces de mort. "Mes enfants avaient peur que je meure et qu’ils meurent eux aussi", a intimé l'Américaine.