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Une femme devant un centre commercial de Dnipro après une frappe russe, le 3 juillet 2024
Crédit : Handout / Dnipropetrovs’k Regional Military Administration / AFP
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Alors que Donald Trump annonce qu'il parlera le 18 mars à Vladimir Poutine pour évoquer la proposition d'un cessez-le-feu de 30 jours, les Ukrainiens ne croient pas que les Russes ont l'intention de céder.
Sur place, dans la ville de Dnipro, des centaines de réfugiés viennent du front à l'Est. Des évacuations de civils ont lieu tous les jours, notamment dans le Donbass où les combats continuent de faire rage. La ville se trouve dans la zone rouge, les bombardements sont incessants, les attaques de drones aussi.
La situation est devenue tellement invivable que les autorités ukrainiennes imposent désormais l'évacuation de tous les enfants. Certaines familles continuent de refuser de s'enfuir, soit parce qu'elles ont plus peur de l'inconnu que des combats, soit parce qu'elles sont viscéralement attachées à leur maison, soit, beaucoup plus rares, mais ils existent, car ce sont les pro-russes, ceux qui eux attendent l'arrivée des soldats de Vladimir Poutine. Mais ces cas sont vraiment des exceptions.
Une maman rencontrée par les équipes de RTL/M6 à Dnipro confie à quel point c'est insupportable de vivre dans la peur pour ses enfants en permanence avant de fondre en larmes, incapable de poursuivre l'échange.
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