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Donald Trump donne au Hamas jusqu'à dimanche soir pour accepter l'accord sur Gaza "avant de connaître l'enfer"

Le président des Etats-Unis a indiqué au Hamas qu'il avait jusqu'à dimanche 5 octobre pour accepter son plan de paix. Une fois cette échéance passée, "l'enfer se déchaînera" contre le mouvement islamiste, assure-t-il.

Donald Trump en Écosse, le vendredi 25 juillet 2025.

Crédit : Andrew Harnik / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP

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Le compte à rebours est lancé. Sur son réseau "Truth Social", le président américain Donald Trump a informé le mouvement islamiste du Hamas qu'il avait jusqu'à dimanche, 18 heures, fuseau horaire de Washington, pour accepter son plan de paix pour Gaza.

"Tous les pays ont signé ! Si cet accord de la dernière chance n'est pas trouvé, l'enfer se déchaînera comme jamais contre le Hamas" a écrit le président des États-Unis, peu après que le mouvement islamiste palestinien eut indiqué avoir besoin de plus de temps pour étudier la proposition américaine.

"La plupart (des combattants du Hamas) qui restent sont cernés et piégés militairement, et ils n'attendent que mon signal, "GO", pour être rapidement exterminés", a déclaré Donald Trump.

Il "demande à tous les Palestiniens innocents de quitter immédiatement cette zone potentiellement très meurtrière pour d'autres parties plus sûres de Gaza", sans préciser de quelle "zone" exactement, il s'agit.

Les points clés du plan de paix de Donald Trump

Le locataire de la Maison Blanche avait déclaré mardi qu'il donnerait "trois à quatre jours" au Hamas pour accepter son plan de paix en vingt points. Ce dernier prévoit, entre autre, un désarmement du groupe palestinien. Une source proche du Hamas a déclaré mercredi que le groupe étudiait le projet.

Donald Trump a présenté son plan lundi 29 septembre 2025 à l'occasion d'une conférence de presse à Washington avec le Premier ministre israélien Bejamin Netanyahu.

Le projet du président américain prévoit un cessez-le-feu, un échange d'otage contre des prisonniers palestiniens détenus par Israël, un retrait israélien progressif de Gaza et la mise en place d'un gouvernement de transition dirigé par une entité internationale.

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