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Une femme prépare le vaccin contre Ebola VSV-EBOV qu'elle s'apprête à administrer, en Guinée, le 10 mars 2015.
Crédit : CELLOU BINANI / AFP
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Libération en fait sa Une et s’interroge alors que le pire était imaginé. Le bilan jusqu’à aujourd’hui serait de 2.000 mort sur le continent. Les pires mots ont été lancés pour une catastrophe qui allait arriver. Massacre, larmes et destins tragiques, la pandémie allait établir son camps de base chez les plus pauvres c’était inscrit, on avait déjà les titres.
Et puis, explique le journal, c’était sans compter sur la jeunesse, sans les expériences acquises face aux tragédies d’avant nommer Ebola : "Celui qui a vu la panthère et celui qui en a entendu parler ne cours pas de la même façon", dit un proverbe africain.
Les précédentes épidémies ont préparés les corps et les esprits à faire face, à se confiner et certains pays comme l’Afrique du Sud, le Rwanda, le Burkina Fasso commencent à déconfiner.
Tant mieux mais cela montre, selon Le Monde, que beaucoup de pays du continent ne sont pas encore rattachés à la mondialisation, mais il est bon d’apprécier un instant de ne pas être le blessé du village global.
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