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Le Christus Spohn Hospital Memorial, au Texas, en février 2006
Crédit : JOE MITCHELL / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / GETTY IMAGES VIA AFP
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Aux États-Unis, l'épidémie de coronavirus profite aux opposants à l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Plusieurs états conservateurs veulent suspendre le droit à l'avortement en incluant ces opérations dans la liste des interventions médicales non urgentes. Les plus hauts magistrats du pays vont maintenant devoir trancher.
Ce sera un dossier test pour la Cour suprême des États-Unis, qui doit rendre une décision dans l'urgence. Profondément remaniée depuis l'élection de Donald Trump, elle est dominée par des juges plutôt conservateurs et hostiles à l'avortement.
Mais le Président, qui d'ordinaire réponse à tout et qui a fait campagne contre l'IVG, est resté évasif sur ce cas particulier. Lorsqu'une journaliste d'une chaîne ultra conservatrice lui a récemment demandé de se prononcer sur la question, il a préféré éluder, visiblement hésitant et embarrassé.
Le Texas a décidé de suspendre les interruptions volontaires de grossesse pendant la pandémie de Covid-19, officiellement pour laisser des lits disponibles pour les malades du coronavirus dans les hôpitaux. Mais les défenseurs du droit à l'avortement accusent, eux, les autorités de cet État conservateur d'instrumentaliser la crise sanitaire à des fins idéologiques.
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