"Emmanuel Macron brouille les lignes, affirme Éric Zemmour. L'homme des autocars et du travail le dimanche devient la terreur des patrons." Le journaliste revient sur l'interventionnisme de l'État qui augmente son capital chez Air France, oppose un veto sur le plan social de Renault Trucks...
"Thalès, Air France, Renault, l'État is back !", lance Éric Zemmour qui doute toutefois de la réussite de ces actions. Georges Pompidou l'avait fait en son temps mais grâce à deux leviers : les commandes d'État et la préférence nationale. "Les deux sacrifiés sur l'autel de l'Europe", dit le journaliste.
Les plans sociaux se multiplient alors que la date fatidique de 2017 se rapproche. Mais Emmnanuel Macron n'a pas les armes pour les affronter, selon Éric Zemmour. "Le capitalisme français a toujours été un capitalisme sans capitaux." Et d'interroger : "Et si nous étions trop libéraux et trop sociaux ?"
Commentaires
Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires.
Cette inscription sera valable sur le site RTL.fr.