Écologie : Clem', une plateforme pour "garantir une mobilité sans pollution"
INVITÉ RTL - Bruno Flinois, le PDG de Clem', détaille l'offre de sa plateforme, qui propose notamment un service de voitures ou de vélos partagés.

Jean-Baptiste Giraud, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire économique gratuit Économie matin, reçoit Bruno Flinois, le PDG de Clem'. Une plateforme qui permet d'accéder à de l'auto-partage, du vélo-partage, du covoiturage ou encore à des chargeurs de voitures électriques.
"On permet aux collectivités de mettre en place des voitures électriques partagées (...) aussi bien partager son trajet - être plusieurs dans la voiture. On peut aussi partager des vélos", explique Bruno Flinois. Spécialisée dans l'écologie, l'entreprise propose des "solutions électriques", détaille-t-il, "pour garantir une mobilité qui soit sans pollution".
Dans une société qui change, Clem' s'installe dans la mouvance verte. "On travaille pour les territoires français qui sont assez innovants", une centaine de villes, explique son PDG, "mais aussi à l'étranger". Et de renchérir : "de plus en plus de villes ont compris qu'on pouvait mettre en place des solutions" écologiques. Pour Bruno Flinois, Clem' est finalement "très complémentaire des transports en commun".
Sur Internet, les avis comptent
Trois Français sur quatre consultent les avis sur Internet, mais ils s'en méfient. C'est en tout cas le résultat d'une enquête OpinionWay pour les Pages Jaunes. Les avis en ligne influencent la moitié des Français dans leur décision d'achat et même, deux jeunes sur trois chez les 18-24 ans. C'est devenu un réflexe aujourd'hui de consulter le nombre de petites étoiles, que ce soit pour choisir un produit ou un professionnel - un plombier, un restaurant, un garagiste... .
Toutefois, 86% des internautes disent qu'il est encore difficile de distinguer les vrais des faux avis. Pourtant, depuis le 1er janvier, tous les sites qui collectent ou diffusent des avis de consommateurs doivent donner une information loyale, claire et transparente. Sur le traitement et la publication de ces avis, les sites doivent donc préciser si les internautes dont l'avis est publié reçoivent une rémunération en contrepartie.
Un enjeu important, car selon la répression des fraudes, 35% des avis en ligne ne sont pas authentiques. Enfin, les internautes français disent publier plus souvent un avis à la suite d'une bonne expérience que lorsqu'ils sont mécontents. Pourtant, les deux tiers des entreprises ne savent pas s'il existe des avis postés sur elles, alors que huit Français sur dix prêtent attention à leur réponse.