VIDÉO - Philippe Audrey Larrue Saint-Jacques : "La version québécoise de LFI, c'est la loi sur la faillite et l'insolvabilité", dit-il face à Mathilde Panot

Ce vendredi 3 octobre, Philippe Audrey Larrue Saint-Jacques a pris la place d'Alex Vizorek. L'humoriste québécois faisait face à la cheffe des députés LFI Mathilde Panot. "Et quel honneur. C'est ce qu'on m'a dit de vous dire. Je suis très nerveux d'être face à vous parce que d'abord, en tout respect, j'avoue que je ne vous connaissais pas, et probablement que c'est réciproque. Donc, c'est comme un date finalement", a-t-il lancé.

"On m'a expliqué que vous étiez du parti de gauche, donc moi j'ai dit PS, on m'a dit 'oh non'", a-t-il poursuivi. Et d'ajouter : "C'est intéressant comment parler du PS, c'est comme parler de G-Squad aujourd'hui. Ça cartonnait dans les années 90, puis aujourd'hui, tout le monde est gêné d'avoir aimé." 

En s'adressant à Mathilde Panot, l'humoriste a indiqué : "On me disait que vous étiez une leader LFI, et tout de suite, c'est familier pour moi. Je connais la version québécoise de LFI, c'est-à-dire la loi sur la faillite et l'insolvabilité". 

"Je me suis demandé, en vous regardant, suis-je réellement de gauche, étant un artiste ? J'avoue correspondre au cliché selon lequel les artistes sont de gauche jusqu'à ce qu'ils deviennent riches. Et en ce sens, je suis à gauche pour y rester. Et depuis que je suis à Paris, je dirais que je suis d'extrême, extrême gauche. Je vous trouve même un peu modérée", a-t-il conclu.

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