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SNCF : les images des futurs trains "Oxygène" des lignes Paris-Clermont et Paris-Limoges-Toulouse

DIAPORAMA - Le train Oxygène, qui desservira les lignes Paris-Clermont et Paris-Limoges-Toulouse, veut mettre l'accent sur le confort tout en luttant contre les retards à répétition.

Le train Oxygène, qui devra desservir la ligne Paris-Clermont-Ferrand et la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse dès 2027

Crédits : Nathan Bocard/RTL
Le train Oxygène, qui devra desservir la ligne Paris-Clermont-Ferrand et la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse dès 2027

Crédits : Nathan Bocard/RTL
Le train Oxygène, qui devra desservir la ligne Paris-Clermont-Ferrand et la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse dès 2027

Crédits : Nathan Bocard/RTL
Le train Oxygène, qui devra desservir la ligne Paris-Clermont-Ferrand et la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse dès 2027

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Bonnes nouvelles en vue pour les lignes Paris-Clermont et Paris-Limoges-Toulouse. Alors que les temps de parcours se sont allongés ces dernières années et que ces lignes accumulent les retards, les rames vont être renouvelées à partir de 2027 avec deux ans de retard sur le planning. RTL a pu visiter ces nouveaux trains appelés Oxygène.

La première promesse de ce train flambant neuf et de ses sièges rouges et bleus est un plus grand confort. "En seconde classe, là où nous sommes assis, la possibilité d'avoir des prises absolument partout, des sièges qui s'inclinent absolument partout, du wifi et puis surtout l'accessibilité", détaille le patron des SNCF Voyageurs, Christophe Fanichet.

Mais tous à bord savent que ces trains doivent avant tout limiter les longs et fréquents retards sur ces lignes. "Un nouveau train, ça ne résout pas tout, mais ça va quand même bien nous aider, assure Amandine Thomas, directrice d'Intercités. Aujourd'hui, les pannes de locomotives qui sont une des douleurs principales, c'est 40% des grands retards. Là, on peut espérer qu'ils soient résorbés".

Et les usagers ne s'y trompent pas. Ces trains ne sont qu'une étape vers un meilleur service. "Ce qui est inquiétant, c'est évidemment quid de l'après, explique Samuel Evrard, secrétaire général d'Objectif Capitales, une association d'usagers du Paris-Clermont. Avoir un train ou avoir des rames, c'est une chose, et avoir l'infrastructure qui permet de recevoir ces rames, c'en est une autre".