Lors de son intervention télévisée lundi 17 avril, Emmanuel Macron a souhaité l’ouverture d’une période de "100 jours d’apaisement", dans l'espoir de mettre fin au mouvement de contestation contre la réforme des retraites. L'occasion pour Philippe Caverivière de faire le point : "on est au deuxième jour d’apaisement, mais je me sens déjà beaucoup plus détendu, zen, limite moine bouddhiste". Au programme de ces cent jours, le président se donne comme mission de résoudre trois gros chantiers, "ce n'est plus un président, c’est un chef d’entreprise BTP", ironise l'humoriste.
Philippe Caverivière reconnaît toutefois l'audace du président. "Il faut une belle confiance en soi
pour demander une période d’apaisement, quand c’est toi qui as énervé les gens", affirme-t-il. "Emmanuel Macron il ne faut plus
l’appeler "Monsieur le Président" mais Madame Claude, car son boulot désormais, c'est de gérer le bordel qu’il a créé".
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