Laurent Gerra imitant Enrico Macias : "Mossoul, une ville désolée comme le siège du PS"
REPLAY - Ce jeudi 20 octobre, Laurent Gerra prête sa voix à Enrico Macias, François Mitterrand, Valéry Giscard d'Estaing et Johnny Hallyday.
En Irak, la lutte contre Daesh est entrée dans une phase cruciale avec la bataille de Mossoul. Nous avons demandé à Enrico Macias, notre consultant en affaires moyen-orientales, de commenter cette situation. "Bonjour à toi, ma petite gazelle à rayures, cinq sur toi mon frère Yves Calvi et la bonne journée à tous les frères et sœurs auditeurs et auditrices de la matinale qui nous écoutent à nous tous", lance le chanteur, imité par Laurent Gerra.
Quand Mademoiselle Jade lui demande s'il suit les événements en Irak, il répond : "Poï, poï, poï, ma petite princesse en poncho, bien sûr que je les suis à eux les événements. Je les suis comme les pigeons du bled y suivaient Mémé Malika la fois où elle avait pas vu que son sac à semoule il était percé. Tellement beaucoup qu’ils la suivaient, qu’on aurait dit un film de Hitchcock, ma parole", lance-t-il.
Penses-t-il que la reprise de Mossoul sera longue et difficile ? "Bien sûr que ça sera dur parce que les forces de la coalition, elles sont bloquées devant Mossoul dans une plaine tellement qu’elle est désertique qu’on dirait la grille de i-Télé depuis que Morandini il y a été embauché à lui", analyse Enrico Macias, toujours imité par l'humoriste. "Mais tu sais, quand on va rentrer dans Mossoul, il faut s’attendre au pire, ma petite gazelle en Mini Cooper. On va trouver une ville toute vide et désolée comme le siège du Parti socialiste après que le Président Hollande il aura fini son quinquennat !", affirme-t-il.
Nouvelles lettres inédites à Anne
Il fallait s’y attendre : l'ouvrage révélant la correspondance amoureuse de François Mitterrand avec sa maîtresse Anne Pingeot est entré cette semaine dans les meilleures ventes de livres. Nous sommes en mesure de vous révéler de nouvelles lettres restées inédites comme celle-ci où l’on en apprend plus sur le dévouement familial de l'ancien chef de l'État.
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