L'enquête se poursuit à Air France. L'entreprise française estime que les agresseurs, qui ont notamment violenté deux directeurs les forçant à prendre la fuite lundi 5 octobre à la sortie d'un comité central d'entreprise interrompu, sont bel et bien des salariés d'Air France. Dès qu'ils seront formellement identifiés leur badge d'accès leur sera retiré et des procédures de licenciement seront engagées.
Au niveau judiciaire, une autre enquête a été ouverte. Le parquet de Bobigny a ouvert une enquête en flagrance après les violences lors du comité central d'entreprise au siège de la compagnie à Roissy. La compagnie aérienne a porté plainte lundi soir pour "dégradations" et "entrave au déroulement du CCE", a déclaré le parquet joint par l'AFP. Un porte-parole de la direction d'Air France a précisé que cette plainte visait aussi des faits de violences aggravées.
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