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Économie : François Lenglet évoque "trois bonnes nouvelles"

ÉDITO - L'économie et la croissance en France semblent bien se porter. Et certaines améliorations sont arrivées plus vite que prévues.

Les clients d'un restaurant avec leur passe sanitaire à Strasbourg.
Les clients d'un restaurant avec leur passe sanitaire à Strasbourg.
Crédit : FREDERICK FLORIN / AFP
Économie : le niveau d'activité en France va retrouver son niveau d'avant crise sanitaire
00:04:04
Économie : le niveau d'activité en France va retrouver son niveau d'avant crise sanitaire
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François Lenglet - édité par Charlotte Diry
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En ce mercredi 8 septembre ensoleillé, trois bonnes nouvelles sont à noter concernant l'économie française. Et comme ce n'est pas si fréquent que ça, on s'en réjouit. 

Dans un premier temps, la croissance de l’économie française devrait finalement dépasser 6% cette année, 6,25% a annoncé l’INSEE, mardi 7 septembre. De plus, le niveau d’activité du pays aura retrouvé celui de l’avant crise, la fin 2019, dès la fin de cette année, alors qu’on ne l’escomptait qu’au début 2022. 

Enfin, l’économie semble vaccinée elle aussi. Alors que la circulation du virus s’est intensifiée cet été, avec le fameux variant Delta, l’activité a continué à progresser. C’est un changement considérable, parce que depuis dix-huit mois, à chaque fois que le virus réapparaissait, tous les indicateurs piquaient du nez.

La vaccination a aidé

Cette résistance et ces améliorations sont dues à une chose. La vaccination massive des français. Protégés, ils peuvent désormais travailler mieux, consommer plus, voyager plus. C’est-à-dire se rapprocher d’un comportement normal, celui de l’avant crise sanitaire. La forte reprise de l’été, c’est le dividende direct de la vaccination et du passe sanitaire.

À écouter aussi

Avec l'instauration du passe sanitaire dans certains lieux, la fréquentation a chuté. Et forcément les professionnels s'en plaignent. Il y a toutefois, deux choses à prendre en compte sur cette question.

D’abord, cela a fait chuter le nombre de clients des restaurants, des cinémas et des parcs de loisirs, mais temporairement seulement, nous dit l’INSEE, qui se base sur l’étude des données de cartes bancaires.