Ligue des champions : Lisbonne reconfinée, la phase finale menacée ?
ÉCLAIRAGE - Depuis mercredi 1er juillet, 19 quartiers de la banlieue nord de Lisbonne sont de nouveau confinés. L'Uefa assure ne pas penser à un plan B mais suit la situation de près.
Tout semblait réglé depuis le 17 juin mais le virus n'a pas dit son dernier mot. La phase finale inédite de la Ligue des Champions 2019-2020 va-t-elle bien pouvoir se tenir à Lisbonne du mercredi 12 au dimanche 23 août ?
L'Uefa a retenu la capitale du Portugal car le pays a plutôt bien géré la crise sanitaire et apparaissait comme l'un des pays européens les moins touchés. Mais depuis quelques jours, plusieurs foyers infectieux persistent et sèment le trouble. Depuis mercredi 1er juillet, 19 quartiers de la banlieue nord de Lisbonne sont de nouveau confinés.
Officiellement le discours de l'instance européenne ne varie pas, reprenant précisément les mots de son président Alexander Ceferin, le 17 juin dernier. "Nous sommes en contact permanent avec la Fédération portugaise et les autorités portugaises. Pour le moment il n'y a pas de raison d'avoir un plan B mais nous évaluons la situation au jour le jour et nous nous adapterons en temps voulu si c'est nécessaire".
L'ouverture des matchs au public compromise
Tout semblait réglé depuis le 17 juin mais le virus n'a pas dit son dernier mot. La phase finale inédite de la Ligue des Champions 2019-2020 va-t-elle bien pouvoir se tenir à Lisbonne du mercredi 12 au dimanche 23 août ?
L'Uefa a retenu la capitale du Portugal car le pays a plutôt bien géré la crise sanitaire et apparaissait comme l'un des pays européens les moins touchés. Mais depuis quelques jours, plusieurs foyers infectieux persistent et sèment le trouble. Depuis mercredi 1er juillet, 19 quartiers de la banlieue nord de Lisbonne sont de nouveau confinés.
Officiellement le discours de l'instance européenne ne varie pas, reprenant précisément les mots de son président Alexander Ceferin, le 17 juin dernier. "Nous sommes en contact permanent avec la Fédération portugaise et les autorités portugaises. Pour le moment il n'y a pas de raison d'avoir un plan B mais nous évaluons la situation au jour le jour et nous nous adapterons en temps voulu si c'est nécessaire".
