Comme chaque année, les gradins quasi-vides réservés aux people à Roland-Garros ont fait polémique. "C'est vrai qu'au prix que ça ne leur coûte pas ils pourraient faire un effort", ironise Bertrand Chameroy ce lundi, au lendemain de la fin du tournoi parisien. "Mais vous savez, la vie est une question de choix, on ne peut pas être partout. Entre boire du champagne bien frais ou assister à une demi-finale, la décision est vite prise. S'ils étaient là-bas pour l'amour du tennis ça se saurait", poursuit l'humoriste, qui raconte une anecdote savoureuse. "J'ai quand même entendu quelqu'un, dont je tairai le nom, penser que Suzanne Lenglen est une chanteuse", poursuit-il, en référence à la joueuse de tennis du début des années 1900, dont le nom a été donné au deuxième court principal de Roland-Garros.
Et Bertrand Chameroy de conclure : "Mais parce qu'il en faut plus pour décourager les people, cette grande famille de pinces, sachez qu'un collectif, composé de plus de 200 artistes de tous bords, a décidé de s'unir. Son nom : Roland-Gratos."
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