Open d'Australie : la jauge d'accueil du public limitée à 50%

Pour ce premier tournoi du Grand Chelem de l'année, le port du masque sera obligatoire pour les spectateurs et des règles de distanciation devront être respectées à l'intérieur.

Les fans passent devant une exposition du logo de l'Open d'Australie le cinquième jour du tournoi de tennis de Melbourne le 12 février 2021 (image d'illustration)

Crédit : Saeed KHAN / AFP

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En raison d'une hausse du nombre de cas de coronavirus et des hospitalisations dans la région de Melbourne, la capacité d'accueil du public à l'Open d'Australie de tennis sera limitée à 50%, a annoncé jeudi 13 janvier le gouvernement de l'état de Victoria.

"Cette mise à jour des règles pour l'Open d'Australie signifie que le public, les joueurs et le personnel pourront s'attendre à un événement extrêmement sûr", a affirmé la ministre du Tourisme de l'État, Jaala Pulford, dans un communiqué.

Pour ce premier tournoi du Grand Chelem de l'année, qui débute lundi, le port du masque sera obligatoire pour les spectateurs, sauf pour manger et pour boire, et des règles de distanciation devront être respectées à l'intérieur.

L'an dernier, des règles similaires avaient été mises en place, mais un confinement de cinq jours décrété à Melbourne en raison d'un regain de l'épidémie avait contraint les organisateurs à faire jouer la plupart des matches à huis-clos. Finalement, de petits groupes de spectateurs avaient été admis dans le complexe sportif Melbourne Park.

La participation de Novak Djokovic incertaine

Sauf exemption rarissime, les membres du personnel et les joueurs ont l'obligation d'être complètement vaccinés contre le coronavirus. La grande majorité le sont, mais le numéro un mondial Novak Djokovic ne l'est pas, ce qui a provoqué depuis une semaine un incident mondial.

La participation du Serbe à l'Open d'Australie reste en suspens. Dans un premier temps refoulé à la frontière et placé en centre de rétention, le tenant du titre a été libéré quelques jours plus tard sur décision d'un juge. Mais le gouvernement australien n'a pas exclu de l'expulser quand même, en vertu de son pouvoir discrétionnaire.

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