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INVITÉE RTL - "Je le trouvais sexy, masculin" : Mathilde Seigner révèle sa passion pour Michel Sardou
À l'affiche de "Chœur de rockeur", dans les salles dès mercredi 28 décembre, Mathilde Seigner s'est souvenue avoir été fan de Michel Sardou lorsqu'elle était adolescente. Une "passion" musicale et physique, concède-t-elle.
Mathilde Seigner en juin 2019.
Crédit : Valery HACHE / AFP
Valeur sûre du cinéma français, Mathilde Seigner sera de retour dans les salles obscures ce mercredi 28 décembre avec Chœurs de rockers. L'intrigue raconte l'incroyable aventure du groupe Salt and Pepper, une histoire vraie. La comédienne campe Alex, une chanteuse dont la carrière est au point mort, qui se voit proposer d'animer une sorte d'atelier de chant auprès de personnes âgées dans une chorale de la mairie. Cette dernière va changer leur répertoire, un brin suranné, pour leur faire chanter de grands classiques du rock.
"Il n'y a pas d'âge pour chanter du rock, et il n'y a pas d'âge de manière générale", commente Mathilde Seigner. "On peut être jeune et vieux dans sa tête, et vieux et jeune dans sa tête", poursuit-elle. "C'est un peu un conte de fée, parce que ce sont des gens qui sont un peu ordinaires et qui ont un destin extraordinaire", souligne l'actrice à propos de la chorale dont s'est inspiré le film.
Émue par l'histoire qui se cache derrière le long-métrage, Mathilde Seigner précise que si le rôle qu'elle interprète n'est pas inventé, son modèle, une certaine Nathalie, ne l'a en revanche pas coachée car le personnage du film est en grande partie fictif. Plutôt que le Britannique Ken Loach et son réalisme poignant, la star française de 54 ans y voit davantage un clin d'œil à la comédie culte The Full Monty.
Par ailleurs, l'actrice s'est vue rappeler sa véritable passion pour la variété française, et en particulier l'un de ses plus célèbres représentants : Michel Sardou. Une passion "physiquement, et pour la voix", a-t-elle révélé devant un studio surpris. "Je le trouvais sexy, masculin et sa voix, pour moi, est l'une des plus belles voix de variété", a-t-elle renchéri. Un goût que ne partageaient pas ses sœurs : "Ma sœur aînée [Emmanuelle Seigner, Ndlr] me cassait mes disques, ce qui me rendait folle", s'est encore souvenue Mathilde Seigner.
