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Réunie sous la présidence de Christian Estrosi, la CNI a désignée 7 chefs de file pour les régionales de décembre
Crédit : AFP / JOEL SAGET
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"Il y a la mort d'enfants, il n'y a rien de plus épouvantable" a finalement répondu le député-maire de Nice Christian Estrosi alors qu'il s'était "réjoui" de la relaxe des policiers concernant la mort des deux adolescents Zyed et Bouna.
Ce dernier a finalement reconnu avoir fait "une confusion" avec l'affaire de Villiers-le-Bel, survenue en 2007. L'élu niçois a expliqué qu'il devait être interrogé sur "les migrants" et que lui avait échappé "une toute petite dépêche" sur la relaxe des policiers. "J'ai fait une confusion. Vous n'avez jamais fait de lapsus en tant que journaliste ?", a-t-il rétorqué.
Le maire de Nice s'était "réjoui" la semaine dernière de la relaxe des deux
policiers, poursuivis pour non-assistance à personne en danger lors du décès des
deux adolescents dans un site EDF de Seine-Saint-Denis. "Les familles n'ont qu'à
éduquer leurs enfants et faire en sorte qu'ils ne soient pas des délinquants",
avait-il estimé, s'attirant de nombreuses critiques.
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