Invité du Grand Jury, ce dimanche 16 novembre, Jean-Christophe Lagarde a montré qu'il était un "centriste atypique", selon Alexis Brézet : "Il n'est pas mou et est très libéral".
Au cours de l'émission, le président de l'UDI s'est positionné contre l'abrogation de la loi Taubira et pour la dépénalisation du cannabis. Il est revenu sur son élection à la tête du parti et sur les projets qu'il entend mener. La vocation de l'UDI est, selon lui, d'avoir un candidat à la présidentielle de 2017.
Il prend un certain nombre de risques en annonçant ce qu'il a annoncé ce soir
Éric Revel, journaliste à LCI
En matière d'économie, Jean-Christophe Lagarde se démarque de ses amis centristes en étant favorable à la fin de l'ISF. Il va plus loin que Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé en étant contre les 35 heures, pour le travail le dimanche, contre les régimes spéciaux chez les fonctionnaires, pour la retraite à 65 ans, pour la hausse de la TVA...
"Il prend un certain nombre de risques en annonçant ce qu'il a annoncé ce soir", estime Éric Revel.
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