Honoré de se retrouver face à François Hollande, l'humoriste a souligné qu'il était face à un invité de taille. Lui qui s'était "fait la main sur du garde des Sceaux, du ministre de l'Économie, du Premier ministre", qu'il résumait comme "du sous-fifre", il se régalait avec l'ancien président des Français (2012-2017).
En effet, "un ex-président, ça a de la gueule", bien que l'on retienne davantage qu'il est "sympa" plutôt que ses résultats en économie, déplore le chroniqueur. Le problème principal du socialiste était de s'être entouré de "gens intelligents, comme Macron", alors qu'un "type intelligent, c'est toujours ambitieux et ça peut vous trahir", met en garde Philippe Caverivière.
Peut-être que le candidat vainqueur des présidentielles de 2012 aurait dû s'inspirer d'Yves Calvi, qui aurait pour "règle d'or" de "s'entourer de cons et de médiocres, le secret de sa longévité".
En tout cas, l'idée du retour de François Hollande pour sauver la gauche ne convainc pas notre humoriste : "C'est un petit peu comme si Jonathan Daval revenait chez ses beaux-parents : "Bon, je m'excuse, je voudrais recommencer avec Alexa". Déni complet. "
De quoi, malgré tout, faire imaginer des scènes surréalistes à Philippe Caverivière : "Je sais pas si on vous a déjà comparé à Sylvester Stallone, mais retenez qu'à la fin, il revient et il leur pète tous la gueule". De bien sages paroles...
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